1. Un jeune homme à la capitale (16)


    Datte: 22/01/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    De nouveau, j’eus l’impression de ne dormir que trop peu d’heures quand le réveil me fit sursauter. Je me levai, m’habillai et passai dans la cuisine qui était déserte. Pour une fois, j’étais le premier levé. Je lançai la machine à café et préparai un nombre conséquent de toasts. Ma tante arriva revêtue de son peignoir habituel, à peine croisé, la ceinture mollement nouée. Sa poitrine était quasi découverte et lorsqu’elle prit place sur son siège, le peignoir glissa de chaque côté de ses jambes dévoilant son pubis. Elle avait les yeux cernés et sa coiffure était à revoir...
    
    — Eh bien, mon neveu, je suis fourbue... Je crois que je ne serai pas de bonne heure au travail. As-tu bien dormi ?
    
    — Comme une masse ma tante. Un tremblement de terre ne m’aurait pas réveillé. Aïcha n’est pas levée ?
    
    — Si, si, d’ailleurs la voilà.
    
    Aïcha entre dans la cuisine d’une démarche un peu étrange. Elle avait repris sa tenue de soubrette et elle aussi avait le manque de sommeil gravé sur le visage.
    
    Elle se servit une tasse de café et vint s’assoir entre nous après m’avoir salué. Curieusement, à peine assise, elle se releva brusquement et commença, debout, à boire son café.
    
    Devant mon regard interrogateur, ma tante pouffa.
    
    — Elle est branchée, dit-elle.
    
    Je ne comprenais toujours pas.
    
    — Montre-lui Aïcha, demanda ma tante.
    
    Docilement, la jeune fille se tourna, se pencha en avant et troussa sa petite robe. Le fessier que je connaissais bien apparût et je remarquai un ...
    ... objet rouge sortant de son anus.
    
    — Elle s’est mis un plug. To plug en anglais veux dire brancher. Celui-ci est plus petit que le bleu d’hier, mais c’est suffisant pour un petit plaisir matinal.
    
    Je glissai ma main entre ses cuisses et introduisis deux doigts dans son sexe trempé.
    
    — Eh bien la journée commence bien, constatai-je en remuant les doigts.
    
    — En fait, je préfère qu’elle s’amuse maintenant, car dans la journée, l’artisan peintre doit enfin venir faire ses travaux. C’est un petit gros libidineux et je ne souhaite pas qu’Aicha cède à une pulsion érotique avec ce porc.
    
    — Oh il n’y a pas de risque, Madame, il est répugnant, dit la jeune fille d’une voix tremblotante.
    
    — Tu dis cela, mais la chair est faible, tu en sais quelque chose.
    
    Devant mon regard interrogatif, ma tante ajouta.
    
    — je te raconterais de quoi elle est capable.
    
    — Oh non Madame, j’aurai trop honte.
    
    — En tout cas, sois distante, mais aimable avec le peintre, car je voudrais voir ces travaux finis et j’aimerais renégocier ces prix. J’ai l’impression d’être prise pour une oie blanche...
    
    Je retirai à regret mes doigts de son sexe. L’heure tournait et il fallait que je file.
    
    — Ne t’inquiète pas, dit ma tante en mettant sa main à la place de la mienne, elle est entre de bonnes mains.
    
    — Je n’en doute pas ma tante.
    
    Je me penchai vers elle et en guise d’au revoir, j’effleurai ses lèvres en lui prodiguant une furtive caresse sur le sexe. Elle aussi était trempée.
    
    Quel dommage ...
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