Impardonnable !
Datte: 10/08/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
lunettes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
Auteur: Alex et Anne, Source: Revebebe
... pantalon. Il glisse sans fin le long de ses interminables jambes. Sa main gauche revient sur mon torse avant de descendre pour saisir mes bourses. Mon autre main plonge sous sa chemise détrempée pour se saisir de son sein. Imprimant une légère pression, elle soupire, mes ongles roulent alors autour de son aréole. Mes lèvres goûtent alors son cou. La délicieuse odeur de son parfum m’enivre à nouveau, une chaleur oppressante envahit mon corps. Nos lèvres fusionnent dans un plaisir charnel. Rapidement elle se débarrasse de son string, se recolle à mon corps. Inversant nos places, son corps se retrouvent totalement sous les jets d’eau chaude. Enlevant sa monture, je caresse son visage plongé sous cette fontaine. Soupir de plaisir. J’embrasse ses lèvres trempées. Sa jambe se pose dans mon coude, de ses doigts elle guide mon sexe vers son antre. Doucement je la pénètre, résistant de tout mon être au plaisir de cette merveilleuse sensation de soie. Elle aussi commence à vibrer de cette première étreinte, ses yeux se plissent, ses doigts se crispent dans mon dos. Reprenant le dessus et son rôle d’insoumise, elle recule sa tête, me fixe de ses yeux noisette. La pluie de la douche dégouline le long de son visage, descend le long de son corps, chute de ses seins pour venir s’écraser sur nos sexes avant de disparaître.
— Lex, je rêve de cette nuit depuis des mois, j’ai honte aussi tu sais.
Hésitant sur la réponse, je n’ai pas le temps de lui avouer que je rêve de cette même nuit, ...
... avec le même sentiment de culpabilité. Elle enchaîne trop vite pour me laisser répondre et me souffle à l’oreille :
— Baise-moi s’il te plaît, ne soit plus ce galant collègue que je connais.
Agrippant chacune de ses fesses dans mes mains, ma réponse se traduit par un violent coup de reins. L’équilibre précaire ne me permet malheureusement pas de lui témoigner toute ma force. Ma virilité en prend un sérieux coup. Lisant dans mes pensées, elle sourit et me susurre d’attendre. Elle se retourne, se cambre doucement en m’offrant une vue que je ne peux m’empêcher de commenter :
— Joli cul, toi aussi !
Un clin d’œil accueille mon compliment.
— Prends-moi plutôt !
Je l’admire, sa taille est si fine, ses jambes si longues et douces à caresser. De sa main gauche elle empoigne alors la barre de douche, de la droite elle écarte ses lèvres pour mieux m’accueillir. La vue est tellement excitante, voir ainsi ma bite se faufiler en elle… Profitant de la position, excité comme un diable, j’accélère le rythme, je la pénètre de plus en plus fort. Restant néanmoins attentif à ne pas être trop bestial, je déçois Anne car elle se retourne et me lance sauvagement :
— Baise-moi, tu te retiens trop là.
Mon orgueil de mâle insulté, je vire au rouge et succombe à ce que je crois être mes instincts les plus fauves. Insultées, mes griffes s’enfoncent dans ses hanches. Vexé, je lui assène de violents coups de reins pour m’enfoncer au plus profond de son être.
— Plus fort ! Plus ...