Impardonnable !
Datte: 10/08/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
lunettes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
Auteur: Alex et Anne, Source: Revebebe
... marche nu-pieds dans la salle de main. Elle me regarde dans le reflet de la glace et me lance :
— Y’a pas à dire ! T’as vraiment un joli cul !
— Non mais depuis quand tu me mates comme ça, toi ?
— Mais depuis notre arrivée dans le service ! Tu ne crois quand même pas que les hommes ont le monopole des regards lubriques ? Et franchement, tu es plutôt mal placé pour me faire des remarques. Tu as vu comme tu m’as désapée du regard quand je suis arrivée au bar ce soir ?
L’assurance de cette femme m’envoûte. Un brin narcissique, elle s’admire dans le miroir pour vérifier ses lentilles.
— Tu sais que tu es encore plus belle avec tes lunettes, Anne ?
— C’est vrai ?
— Oui je t’adore avec, tu es encore plus séduisante quand tu les portes. Elles te donnent une assurance que j’adore.
— Tes caprices sont mes ordres, rigole-t-elle en sortant de la pièce.
Une minute plus tard, elle revient. Toujours de dos, je regarde son reflet dans le miroir qui commence à s’embuer. Elle porte ses lunettes à large monture noire. Dans sa tenue de femme d’affaires, elle me fait penser à une riche avocate, ou plutôt à la brillante présidente d’une multinationale. Elle s’avance vers la glace et me demande :
— Tu aimes comme cela ?
— Et comment ! Madame la Présidente ! avoué-je envoûté.
— Oh mais excusez-moi, monsieur, je manque à mes devoirs, joue-t-elle en me vouvoyant à son tour. Tout n’est pas encore parfait !
Alors, elle déboutonne à nouveau son chemisier. Après avoir ouvert ...
... les trois premiers boutons de son chemisier, elle s’approche de la vitre de la douche et reprend sa provocation en m’offrant un splendide spectacle :
— Vous préférez les cols échancrés aussi, je crois ! non ?
Ne voulant briser la poésie du moment, je m’abstiens de tout commentaire et profite pleinement de l’instant présent. Quelle femme, bon sang ! Ce corps si magnifique ! Cet esprit si brillant ! Et cette provocation arrogante à souhait ! Un véritable fantasme ! Comment diable une femme comme elle peut exister ? Dans la glace, je remarque que son fin soutien-gorge a disparu. Sa poitrine est ferme, ses seins provocants sont un véritable appel.
— En tout cas monsieur, vous n’êtes pas insensible à mes charmes, argue-t-elle en constatant mon érection.
Habillée, Anne entre alors dans la douche, malgré la température de l’eau, le spectacle me saisit, un nouveau frisson me parcourt. Sa main droite vient me caresser ma fesse et m’accompagne pendant que je lui fais face. Résistant à la tentation de me jeter sur elle pour assouvir mes penchants les plus bestiaux, je profite du spectacle des gouttes d’eau qui viennent perler sur la soie de sa chemise. Au fil de l’eau, sa chemise se colle à ses seins. Quelle poitrine ! Quel corps ! Tout en finesse ! Les ongles d’Anne remontent le long de mes fesses et m’électrisent. Mon index plonge le long de sa gorge, ruisselle entre ses seins et, dans sa chute, il emporte un à un les boutons restants. La chute en cascade n’épargne pas son ...