1. Un deuil peu commun... (1)


    Datte: 18/01/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... toute façon, même si je te donnais l’autorisation, tu n’y arriverais pas !
    
    — Tu crois ça ? Ta femme, j’en fais ce que j’en veux ! On parie ?
    
    — Quoi ?
    
    — Ma survie...
    
    — Je ne comprends pas ?
    
    — Bon c’est bien simple. Maintenant que ta mère est morte, je ne baiserai plus de ma vie. D’abord, parce que c’était la meilleure, et qu’ensuite, même si je contactais mes amis, je ne pourrais plus participer. On ne peut venir seul à nos parties fines. Et même si j’avais pensé me laisser mourir de chagrin, je crois que me taper la falaise à cent trente kilomètres-heure, dans ma Mercedes par une nuit de pleine lune, ça aurait quand même plus de gueule ! Non ?
    
    Tu pourras gérer mon départ, maintenant que tu sais organiser des obsèques. Me dit-il, goguenard !
    
    — NON ! Je ne veux pas que tu meures !
    
    — Alors c’est simple, j’arrive à pervertir ta petite femme et je survis. J’aurai au moins un lot de consolation, et toi tu pourras passer des nuits enfiévrées grâce à moi. Tu y gagnes ton équilibre psychologique, parce que je sais que tu ne pourras supporter un deuxième deuil en si peu de temps, ta Muse sera revenue sous la forme de ta femme qui t’apportera des joies ineffables... et cerise sur le gâteau, je t’introduirai dans mon cercle de pervers, comme tu dis !
    
    — Tout ça, c’est des mots. Je te crois incapable de circonvenir ma femme ! Elle est d’ailleurs très inquiète pour toi et pour moi...
    
    — Oui, parce que si tu pètes les plombs, vu ta sensibilité exacerbée, elle te ...
    ... plaque ! J’ai vu juste non ?
    
    — Tu es diabolique.
    
    — Je sais, c’est pour ça que je vais réussir à subvertir la morale étriquée de ton épouse, si douce et si frigide ! Et je sais que tout cela va beaucoup t’exciter, même si tu ne veux pas le reconnaître à présent ; tu es comme moi et comme ta mère !
    
    — Je n’y crois pas quand même !
    
    — Bon, alors écoute. Demain, j’annonce à ta femme que je quitte votre maison et que je rentre chez moi. Elle va me supplier de rester une semaine de plus. J’y mettrai des conditions entre elle et moi... Au bout d’une semaine, je te parie que j’arrive à la faire nous servir l’apéro dans ce salon, seulement vêtue du porte-jarretelles noir et des bas, qu’elle portait le jour de la crémation !
    
    — Une semaine pour pousser ma femme à s’exhiber nue devant toi et moi ! Impossible. Et comment sais-tu qu’elle en portait un, sous son tailleur ?
    
    Oh si, et je la pousserai à se branler, les cuisses toutes grandes ouvertes, sur ce fauteuil là-bas ! Pour ton plus grand plaisir... et le mien ! Quant au porte-jarretelles, c’est l’instinct ! Ce sera très troublant, tu verras ! Je ne sais d’ailleurs pas lequel, de moi ou de toi, sera celui qui éprouvera la plus grande excitation !
    
    — Et après, que va-t-il se passer ?
    
    — Je lui ferai gravir les échelons de la plus profonde dépravation ; elle va devenir la putain de tes rêves ! Et moi je retrouverai goût à la vie ! "Good deal", non ? Je vais en faire ce que je veux ! Elle est tellement disposée à être ...
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