Souvenirs de mon année Erasmus (8)
Datte: 18/01/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Napelast, Source: Xstory
... fauteuil, quasiment sous le bureau, je me rapprochais de la source à laquelle j’avais déjà bu. Son tailleur était remonté au niveau des hanches et sa culotte bien entendu n’était plus là. Droit devant moi, son buisson blond comme dans mes souvenirs, avec ces deux petites lèvres bien visibles et son antre bien lubrifié. Un tableau de rêves.
Elle posa une main sur ma tête pour interrompre mes rêveries et m’inciter à me mettre au travail. À vos ordres madame ! Je m’y plongeai et m’apprêtai à mettre tous mes moyens en œuvre pour la faire décoller. Je commençai par baiser délicatement ses deux lèvres, déjà bien imprégnées de son jus de plaisir. Puis avec le bout de la langue, effectuer de longues montées et descentes sur la tranche de chacune d’elles. Au bout de chaque série de 3 ou 4 montées, je tentai une rapide immersion avec le bout de ma langue dans l’entrée de son vagin, ce qui la faisait tressauter, mais j’imagine exulter également.
Je prenais parfois une lèvre du bout des miennes pour la sucer doucement pendant de longues secondes. Mais c’est véritablement lorsque j’entamai le travail au niveau de son clito, que je sentis son souffle devenir plus court. Elle ne pouvait s’empêcher d’effectuer des pressions avec ses jambes, enserrant ma tête. Je prenais ça comme une incitation à continuer à pousser dans cette direction.
D’ailleurs, elle ne tarda pas à reposer une main sur ma tête, tous les signes montraient que j’étais sur le chemin de la vérité, j’étais son ...
... instrument de plaisir.
Elle était vraiment mouillée, difficile de faire plus, je pense qu’elle n’était pas loin de la jouissance lorsque quelqu’un frappa à la porte de la classe. Prise d’effroi, elle comprit rapidement dans quelle galère, elle s’était encore mise.
Répondre ou pas à la personne derrière la porte, ne changeait rien, dans les deux situations celle-ci allait rentrer. Elle était coincée. Elle n’eut même pas le temps d’échanger un mot avec moi, et me poussa sous le bureau devant ses jambes, d’ici j’étais invisible et indétectable si je restais tranquille.
Un groupe d’étudiants finit par rentrer avec des questions à lui poser. Gênée, elle devait être toute rouge, mais heureusement pour elle, la distance entre la porte et le bureau devait rendre invisible ce genre de détail.
Heureusement, les jeunes ne vinrent pas jusqu’à elle et engagèrent le dialogue du milieu de la classe. Sous le bureau, en réfléchissant, je compris de quoi avait tant peur ma prof : mes vêtements restés en tas devant son bureau nécessiteraient une bonne explication si les étudiants s’en rendaient compte. Encore pire au sujet du sperme répandu sur le bureau.
Malgré le danger de la situation, mon esprit restait focalisé sur l’exercice que j’avais dû interrompre. Sa chatte et son buisson bien humides étaient à quelques centimètres de moi. Et demeuraient bien visibles. Elle avait vainement essayé de descendre son tailleur, mais elle évitait de faire trop de gestes qui auraient pu apparaître ...