1. Souvenirs de mon année Erasmus (8)


    Datte: 18/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Napelast, Source: Xstory

    Le mardi, nous avions cours avec Mme Marzeda : Dynamiques économiques au XXe siècle. J’appréciais particulièrement ce cours, et pourtant, j’étais pris par une sorte d’appréhension qui me tordait l’estomac avant de m’y rendre. Le sujet du cours n’était pas en cause, mais bien celle qui l’assurait. A vrai dire, je n’assumais pas du tout l’épisode de la piscine avec elle (voir chapitre 6). Quels réaction et comportement allait-elle avoir avec moi ? Allait-elle m’ignorer ? Comme elle essayait probablement d’oublier cette histoire, c’était le scénario le plus plausible. Ou alors allait-elle tenter de me faire payer cher le piège que je lui avais tendu ?
    
    Une chose était certaine, de mon côté, je n’étais pas passé à autre chose. Depuis la piscine, le souvenir de son corps, de sa peau douce sous l’eau chaude de la douche, de ses courbes et de sa poitrine opulente, m’obsédait. Je m’enivrais de ces images gravées dans mon esprit. Me les rappeler m’en donnait des tremblements dans les membres, et pourtant il ne s’agissait pas d’un rêve, je l’avais bien vécu.
    
    Aujourd’hui, je ne pouvais ignorer mon envie, mes pulsions, j’en voulais plus, je devais l’avouer. J’enviais ce corps, je le convoitais, je le désirais. Nous deux au creux d’un lit, au fond d’elle, je voulais lui procurer du plaisir, je voulais la voir jouir.
    
    Hélas, cela semblait impossible, tout simplement parce qu’il y avait peu de chances pour qu’elle partage les mêmes pulsions qui animaient mon esprit. Elle me l’avait ...
    ... dit, elle était mariée, elle avait 20 ans de plus que moi, je n’étais rien pour elle.
    
    Dès la rentrée des élèves en classe, je ne pus m’empêcher de la regarder fixement, mais l’échange de regards n’eut pas lieu. Elle m’ignora de la façon la plus naturelle possible et je n’étais pas à cet instant un élève particulier. Je me fis discret en m’installant au fond de la salle. Il fallait que cette heure passe, ensuite ça irait mieux.
    
    Mais une heure comme celle-ci, c’est long, d’autant plus lorsque l’on a un tel l’objet de convoitise à quelques mètres de soi. Elle portait à son habitude un tailleur qui mettait en valeur ses courbes et je ne pouvais m’empêcher d’imaginer ses dessous. Quel type de lingerie mettait-elle le matin ? String ou culotte, ou alors ne mettait-elle rien ? Non, j’optais pour la culotte.
    
    Ensuite, j’apercevais dans mes rêveries ses hanches nues, celles-ci, je les avais vues, et leur souvenir était suffisamment bon pour que je puisse le calquer sur ma chère professeure qui se mouvait dans les rangs de bureaux. Ces belles hanches, je voulais les toucher et m’y agripper, un jour si j’avais la chance de la prendre par-derrière. Enfin sa poitrine, que je rêvais de soupeser, palper, presser, embrasser. Enfin, mordre légèrement ces magnifiques tétons roses.
    
    Ne suivant pas du tout le cours, perdu dans mes pensées, j’avais une gaule qui poussait de toutes ses forces mon pantalon. Sans pouvoir lever les yeux de cette belle femme, j’étais d’autant plus incité à ...
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