1. Souvenirs de mon année Erasmus (8)


    Datte: 18/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Napelast, Source: Xstory

    ... moi m’empêchait de douter et je ne réfléchis pas plus longtemps et m’exécutai. Je déboutonnai ma chemise, puis mon jean, le fis glisser par terre, accompagné aussitôt du caleçon. Je fus un peu plus lent avec ce dernier et comme par réflexe, je posai ma main sur mes bijoux de famille. J’étais tellement tendu qu’il n’y avait même pas un début d’érection, tout tenait donc dans ma paume. A sa mine, ma prof semblait insatisfaite, et je savais bien pourquoi.
    
    — Rapproche-toi un peu du bureau, histoire que j’y vois mieux.
    
    J’obéissais tout en m’apercevant qu’elle avait saisi la longue règle en bois de forme carré avec sa main. Étonnamment, pas une seconde je m’inquiétais du châtiment qu’elle pouvait m’infliger avec tel objet, et la possibilité qu’elle avait de me faire payer cher le piège de la piscine. Un petit coup dans l’entrejambe et hop, l’affaire était réglée.
    
    Je n’étais pas inquiet, et pourtant c’est dans cette direction qu’elle tendit le bout de la règle. D’un geste souple, elle vint tapoter le côté de ma main qui lui cachait ce qu’elle convoitait. Je fis lentement glisser la main le long de ma hanche. Elle avait désormais en visu ce qu’elle voulait.
    
    — Elle était plus impressionnante l’autre soir dans mes souvenirs, me lança-t-elle en souriant.
    
    — Je ne bande pas madame.
    
    — Je le vois bien, hélas.
    
    Elle vint loger le bout de sa règle, au milieu du scrotum entre mes deux couilles, et toujours assise, elle la fit monter et descendre légèrement, comme si ...
    ... elle avait besoin de soupeser mes bourses. Mon sexe lui, demeurait au repos, peut-être étais-je trop impressionné pour être excité.
    
    — Ce petit jeu ne te suffit pas pour retrouver de la vigueur. Je te croyais plus réactif que cela. Ma voix n’est donc pas suffisante ? Peut-être que si j’essayais autre chose...
    
    Je n’osai le croire, mais lentement elle déboutonna un bouton de sa chemise, puis un deuxième, tout en ne quittant pas mon sexe des yeux. Au quatrième bouton, le sang commençait déjà à affluer dans mon membre. L’idée de voir sa poitrine me rendait fou.
    
    — Ah c’est déjà mieux, se fit-elle la remarque. On dirait que ça t’excite un peu plus. Tous les mêmes, dès qu’on parle poitrine, vous vous mettez au garde-à-vous. Et vu comme la tienne se dresse, tu dois particulièrement apprécier ce que j’ai là dessous.
    
    Je ne pus m’empêcher de lui répondre aussi sec :
    
    — Si vous saviez...
    
    Libérée des boutons, elle entrouvrit son chemisier, et je pus entrevoir son soutien-gorge noir bien tendu, qui soutenait un volume certain. Sans m’en rendre compte, ma main était revenue au niveau de mon sexe pour constater son état de tension.
    
    — Tu peux te branler si tu veux, je vais t’en donner les moyens, me glissa-t-elle avec une voix qui me rendait tout chose.
    
    Je bandais déjà au maximum. Ma main commença à entourer mon sexe et à le décalotter, oh c’était déjà bon. Mes couilles étaient bien remontées, non pas par la peur du bâton de ma chère professeure, mais bien en raison de ...
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