Les blancs dessous de Nathalie - Histoires de Sexe

Les blancs dessous de Nathalie

... osent de plus en plus. Certains se collent ou se frottent contre ma femme, d’autres lui mettent carrément la main aux fesses. Pourtant, il serait facile à ma femme de s’échapper, de quitter la pièce, mais elle reste là, à subir. Ou à profiter…

Soudain, Patrice s’invite à nouveau au bal. Sans aucun complexe, il capture ma femme dans ses bras tandis qu’ils virevoltent à deux au milieu de la pièce. Mais cette fois-ci, la danse est clairement en mode collé-serré !

— Honnêtement, Nathalie, je vous préfère ainsi.

Elle devient encore plus rouge :

— Je… je ne comprends pas ce…
— Y a-t-il quelque chose à comprendre ?Carpe diem, cueillez l’instant présent, laissez-vous vivre, c’est aussi simple que ça.
— Mais…

Il la serre un peu plus contre lui :

— Pour ma part, j’adore valser avec vous, sentir votre corps contre le mien, votre douceur, votre parfum. J’aime aussi vous voir vous étourdir, en lingerie blanche, sous les yeux d’admirateurs. Ce soir, nous avons ouvert une parenthèse, profitez-en, et une fois qu’elle sera refermée, vous penserez que ce n’était qu’un rêve. C’est aussi simple que ça.
— À la seule différence que ce n’est pas un rêve ! Je suis à moitié nue en train de danser avec divers inconnus !
— Faites comme si ce n’était qu’un rêve, c’est facile à imaginer. Et dans les rêves, il peut arriver tant de choses !

Joignant le geste à la parole, Patrice pose carrément sa main sur la fesse de ma femme :

— C’est aussi simple que ça, Nathalie. Vous avez ...

... un mignon petit cul, bien rond comme il faut, et il est admirablement mis en valeur par cette belle dentelle blanche. De ce fait, il serait dommage de ne pas en faire profiter tout ce petit monde.

Elle le regarde avec de grands yeux, laissant Patrice lui caresser le galbe qu’il a à présent sous la main. Je regarde avec étonnement et aussi avec intérêt, me disant que j’aurais bien aimé être à sa place, et avoir une telle assurance !

— Ce n’est pas que je m’ennuie avec vous, délicate Nathalie, mais il faut savoir partager dans la vie et faire que tous profitent.

Aussitôt, il s’écarte d’elle, baise sa main. Le temps que ma femme réagisse que, déjà, un autre cavalier s’empare d’elle. Puis d’autres hommes forment un cercle autour du couple dansant. Je crois comprendre que certaines mains s’égarent parfois.

Impassible, Patrice regarde le cercle des hommes :

— Vous avez une bien délicieuse femme, Robert. Vous en êtes conscient ?
— Oui, bien sûr que j’en suis conscient, mais je réalise que… comment dire… que j’ai dû louper diverses choses…
— Si vous le dites…

Je m’inquiète un peu :

— Il va se passer quoi, là ?
— La suite… qui ne dépend que d’elle. Sauf si vous intervenez en disant stop.
— Non… bien que je ne comprenne rien à ce qui arrive, je suis comme… comme fasciné…
— Je vous comprends…

Ma femme ressemble à présent à une boule de flipper, ricochant d’homme en homme, de mains avides en mains rapaces. Les yeux fermés, son corps abandonné, Nathalie se ...