Échanges phaéciens
Datte: 17/01/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
couplus,
vacances,
plage,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
Oral
préservati,
pénétratio,
échange,
libercoup,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... déverser en elle, la remplir, la combler, afin qu’elle déborde. J’ai toujours eu une fascination pour le foutre qui ruisselle sur des cuisses féminines.
— Ah que c’est bon ! T’es sacrément bonne, tu sais ?
— Oui, je sais ! Vas-y, mon salaud !
À ces mots, je m’active encore plus, agité, fébrile, mes doigts crispés dans sa chair, dans ses hanches mouvantes qui pivotent autour de ma colonne de chair plantée dans ses profondeurs si accueillantes et chaudes.
— Oooh, je sens que je ne vais plus tenir longtemps !
— Retiens-toi encore un peu… ça y est presque… attends… attends…
Je serre des dents, la tête renversée. Je freine comme je peux. J’ai beau avoir un certain contrôle, ce n’est pas évident, surtout avec une femme si sensuelle, si libérée, si bandante !
— Ah… ah… Aaah !
C’est de façon presque synchrone que nous jouissons, charnellement, totalement, elle et moi comme fusionnés. J’adore entendre ses cris de jouissance alors que je flotte ailleurs, loin, très loin.
Dieu que c’est bon ! Oh oui ! Il faudrait inventer une religion dans laquelle la prière serait remplacée par une bonne baise !
Oui ! Dieu que c’est bon !
À l’heure dite, nous retrouvons l’autre couple. Finalement, pas de détour par le magasin pour un éventuel achat de bikini. Peut-être que ce sera d’actualité une autre fois, Blandine ayant décidé de mettre quand même son bikini. Tandis que nous longeons la mer, Barnabé se penche sur moi et me dit en catimini :
— Visiblement, vous ne ...
... vous êtes pas trop ennuyés durant la sieste…
— J’espère que tu as fait pareil ! En vacances, on se libère, on évacue !
— Ben… on va dire qu’on s’est fait un petit câlin…
— Mais sans plus, c’est ça ?
— Ben… oui…
Comme je constate qu’il a les yeux rivés sur le popotin dansant de ma femme, je comprends qu’il n’a pas trop l’esprit à lutiner sa femme. L’usure du temps ? Qui sait. C’est vrai qu’ils se connaissent depuis environ deux fois plus longtemps que ma femme et moi. Pourtant, je n’imagine pas être lassé d’Amandine dans dix ans, dans vingt ans et plus.
Aussitôt arrivés sur place, nous nous installons aux mêmes places que ce matin. Amandine enlève sa robe d’été et apparaît aussitôt seins nus, habillée d’un simple string ébène. À cette vision, Barnabé ressemble au loup de Tex Avery, avec sa langue pendante et ses yeux exorbités. Il faut dire que ma femme est quasiment nue, surtout de dos, mis à part une petite ficelle entre les fesses. Quant à la partie anatomique qui est devant, le petit triangle de tissu noir peut prêter à confusion, surtout vu de loin. De son côté, Blandine est soufflée par la décontraction sexy de ma femme. Amusée par la situation, celle-ci houspille gentiment sa timide voisine :
— Allez, Blandine, dépêche-toi de te mettre en tenue de bain !
— Euh… oui…
C’est vrai que son bikini est un peu juste, et que ça déborde un peu, mais c’est bien là tout l’intérêt du jeu. C’est vrai que Blandine est un tantinet gironde, mais ça lui va bien. Je sens que ...