Échanges phaéciens - Histoires de Sexe

Échanges phaéciens

... tenter des expériences, ça permet de ne pas avoir de regrets…
— Ah OK. Je vois…

Je ne sais pas ce que Blandine imagine, mais elle doit être assez loin du compte, car nous sommes ce qu’on appelle un couple assez libéré. Amandine projette ses mains dans son dos :

— Tiens, en parlant de regrets… le soleil est juste comme il faut, ni trop, ni pas assez, et il y a une petite brise…

Peu après, sans complexe, ôtant le haut, ma femme dévoile ses deux beaux seins que j’adore peloter, câliner, bisouter. Sa voisine s’en étonne :

— Tu… tu fais quoi ?
— Du topless, ma chérie ! Histoire de parfaire mon bronzage.
— Mais… tu peux pas faire ça ici !
— Et les deux femmes qui sont là-bas, près de l’eau, elles sont en doudoune polaire, peut-être ? Et puis, la rousse à droite, elle est en anorak ? Faut qu’elle fasse attention, cette rousse, elle est vraiment très blanche de peau ! Elle va finir par être rouge écrevisse, comme son sac, si elle s’expose trop !
— Euh…
— Et puis, tiens, regarde, les deux gonzesses qui viennent vers nous, elles sont toutes les deux nichons à l’air. Ce sont les deux Allemandes qui sont arrivées en même temps que nous à l’hôtel.

Blandine ne répond rien. Puis les deux femmes passent à un autre sujet. Du coin de l’œil, je constate que Barnabé est en train de bien regarder dans notre direction. Je suppose que les seins de ma femme y sont pour quelque chose…

Puis, à la suite de l’initiative de Blandine, la conversation revient sur le thème du ...

... topless :

— Oui, mais toi, tu peux te le permettre, t’as des seins de jeune fille…
— Je suis aidée par mon homme qui s’occupe beaucoup d’eux…
— Ah bon ? Je croyais que c’était une légende ? Les miens, ils sont moins… moins fermes…
— L’eau froide, ça aide à raffermir les tissus. Ben tiens, une idée qui me vient ! T’as un bikini dans tes valises ?
— Euh oui, un seul… mais il est peut-être un peu juste. C’est Barnabé qui a insisté pour que je le prenne.
— Très bien, mets-le cet après-midi et on ira dans la mer, j’en profiterai pour t’expliquer quelques mouvements à faire pour ta poitrine.

Blandine objecte faiblement :

— Il est un peu juste…
— Si ton bikini est vraiment juste, au rez-de-chaussée de l’hôtel, t’as une petite boutique, et leurs bikinis ne sont pas très onéreux. Tu pourras en essayer quelques-uns, OK ? On fera ça à deux, sans les hommes, d’accord ?
— Euh… pourquoi pas…

Barnabé est en train de sortir de l’eau. Je constate qu’il ne regarde pas ma femme, mais plutôt qu’il la dévore des yeux. Tout ceci m’amuse. Et, telle que je la connais, ça doit aussi égayer ma femme. En revanche, on dirait que Blandine ne remarque rien. Ou bien, elle fait semblant.

Quelques aller et retour et autres bronzages recto verso plus tard, il est à présent l’heure d’aller se sustenter. Je remarque au passage qu’à chaque fois que ma femme part se servir aux buffets, Barnabé se fait un plaisir de l’accompagner.

Puis le repas fini, nous regagnons nos chambres pour une petite ...