Échanges phaéciens - Histoires de Sexe

Échanges phaéciens

... est nue, tandis que je l’embrasse partout, laissant courir mes mains sur tout son corps. Elle participe un peu plus que d’habitude, elle se décoince, c’est très bien. Après quelques préliminaires, je lui demande :

— Tu te sens prête ?
— Euh… oui…
— Très bien. Nous allons faire à peu près la même chose que la première fois, mais avec un petit changement. Cette fois-ci, tu vas me tourner le dos, d’accord ?
— Je te tourne le dos ?
— Oui, nous allons inverser. Tu verras, ce sera un peu différent, mais très jouissif.

Se redressant sur un coude, elle hésite un peu. Puis, me dévisageant, elle lâche :

— Si tu le dis, c’est que ça doit être vrai. Tu ne m’as jamais menti jusqu’à présent.
— Je ne vois pas l’intérêt de te mentir.
— Tous les hommes ne sont pas comme toi. C’est peut-être toi que j’aurais dû épouser !

Je lui décroche un large sourire :

— Tu aurais osé épouser un énorme pervers comme moi ?
— C’est vrai que… Tu crois que je serais devenue comme Amandine ?
— Peut-être que oui, peut-être que non… Peut-être serais-tu allée plus loin qu’elle, dans la même direction ou dans une autre… Allez, mets-toi en position, agenouille-toi à cheval sur mes jambes.

Elle s’exécute, m’exposant son beau popotin. Je m’exclame :

— T’as un sacré beau cul, surtout quand on l’admire de plus près !
— Pff ! Idiot !

Maintenant, tout est en place. À nouveau, il va falloir assumer, tout en doigté ! Je taquine délicatement son petit trou afin de le lubrifier comme il se ...

... doit. Blandine soupire et frissonne d’aise, c’est évident.

— Tu es prête, Blandine ?
— Oui… je suis prête…

Peu après, abaissant ses fesses vers ma verge bien raide et lubrifiée, je cale mon gland contre la cuvette délicatement évasée.

— Laisse-toi aller comme l’autre fois, ça va rentrer sans problème. Ce sera un peu différent. À toi de trouver le bon angle d’introduction. Passe ta main entre tes cuisses et viens prendre ma queue pour mieux la diriger.
— D’accord…

Elle s’empare du bout des doigts de ma verge, tandis que, de mes deux mains, j’écarte ses fesses pour bien dégager son sillon. Peu après, une grosse pression s’exerce sur le bout de ma verge.

— Aaah ! Je sens que c’est rentré !
— Oui, ma Didine, ton cul vient d’avaler tout mon gland !
— C’est différent, c’est vrai… pourquoi ?
— La contrainte anatomique est un peu différente, et tu ne me vois pas. C’est un peu une mini-privation des sens, tu dois deviner.

Tout en les soutenant, j’écarte mieux encore ses fesses pour faciliter l’introduction. Ma tige s’engloutit petit à petit dans son long tunnel sombre. Je lui dis :

— C’est bon, tu peux lâcher ma queue et poser tes deux mains sur mes jambes.
— D’accord.

Blandine lâche ma verge et retire sa main, comme je lui ai demandé. Quelques centimètres disparaissent encore, elle soupire :

— Oooh ! C’est… c’est différent !
— Tu as mal ?
— Non, mais c’est différent ! L’autre fois, tu me masturbais !
— Pas maintenant, il faut que tu apprennes à être ...