Échanges phaéciens - Histoires de Sexe

Échanges phaéciens

... de la baie s’arrête sur des tas de rochers infranchissables. Un peu à l’écart, j’arrête le quad, puis j’aide ma passagère à descendre. J’annonce :

— Petit arrêt de quelques minutes.
— OK, on fait quoi ?
— On va se baigner un peu.

Elle proteste :

— Mais j’ai pas de maillot de bain !
— Aucun problème ! Tu enlèves ta robe, et tu y vas toute nue !
— Ah non !
— Ah si !

Quelques secondes plus tard, nous sommes dans l’eau, tous les deux nus. J’en profite pour lui faire des câlins. Elle ne proteste absolument pas. Alors que je me fais de plus en plus entreprenant, elle me demande :

— Tu ne vas quand même pas me faire l’amour ici dans l’eau ?
— Je voudrais bien, mais ce n’est pas une très bonne idée pour diverses raisons. La première, c’est le sel et les microbes. Ce n’est pas génial-génial !
— Ah d’accord ! Et la seconde ?
— L’effet de succion ou l’effet ventouse, si tu préfères.

Ce qui ne nous empêche pas de nous embrasser. Elle s’offre même le luxe de se frotter contre mon sexe. J’adore sentir sa touffe sur la peau de ma verge !

Nous ressortons de l’eau, Blandine fait un peu de nudisme, dans les rochers, cachée de la plage. Parfois j’ai l’impression d’avoir affaire à une ado qui souhaite passer de l’enfance à l’âge adulte. Bien sûr, j’en profite pour la câliner un peu. Puis nous repartons, direction l’intérieur des terres et le Pamela Beach, ses seins toujours écrasés contre mon dos. Si j’avais su, j’aurais loué plus tôt un quad pour une demi-journée ...

... ou plus, et j’en aurais profité pour lutiner Blandine dans le moindre endroit adéquat. Mais comme demain, il est convenu qu’on passe la journée à quatre…

Vingt heures, toujours personne. Nous décidons d’aller manger sans Amandine et Barnabé. C’est vers presque vingt et une heures trente que l’autre couple pointe le bout de son nez alors que nous sommes installés dans la partie-bar. Ma femme m’explique :

— Désolée, mais on n’a pas vu passer l’heure !
— Dépêchez-vous, il ne va plus rien rester !
— OK ! Ne nous attendez pas, faites ce que vous voulez, on est un peu crevé de notre randonnée !

Tandis que l’autre couple part dîner, je demande incidemment à ma voisine tout en désignant son verre à moitié vide :

— C’est pour te donner du courage ou quoi ?
— Pour deux raisons, cher ami : la première est que j’aime beaucoup…
— Et la seconde ?
— Il me faut au minimum trois verres pour affronter les cochonneries que tu vas me faire subir dans pas longtemps !

Je rigole posément :

— Ah, ça te va bien de te poser en pauvre petite chose innocente martyrisée par un sadique libidineux !
— Exactement, mon cher monsieur ! Quand j’ai mis les pieds ici à Corfou, j’étais restée une jeune fière quasiment vierge !
— Quasiment vierge ? Rappelle-moi le nombre d’enfants que tu as eu avec Barnabé ?

Elle fait un petit geste comme pour chasser ma fausse question :

— Ça ne compte pas ! J’étais encore pure et innocente jusqu’à ce dimanche ! T’as vu ce que tu as fait de moi en si ...