Échanges phaéciens - Histoires de Sexe

Échanges phaéciens

... Amandine, ça peut durer des heures et des heures !
— Sans blague !?
— Oh que oui !

Nos deux femmes batifolent toujours dans l’eau. Je propose à Barnabé :

— Au fait, ça te dirait d’aller faire un tour demain matin à Roda ?
— Roda ? La ville d’à côté ?
— Oui, la baie d’à côté, avec sa grande plage, ses magasins moins chers qu’à l’hôtel.
— Demain matin ? Je croyais que la navette partait au plus tôt, vers quinze heures ?

Je me lance dans une petite explication :

— On peut y aller à pied, juste après le petit-déj. Tu as un peu plus de deux kilomètres, la route est bordée d’arbres, donc à l’ombre si le soleil tape trop fort. De plus, pour changer un peu, on pourra déjeuner sur place, les tarifs sont corrects, enfin, ils étaient corrects l’année dernière.
— Oui, ça me dit. En revanche, je te préviens tout de suite : Blandine n’est pas une fana de la marche à pied !
— Deux kilomètres, ce n’est pas le bout du monde. Ça te convient ?
— Oui, ça sera vraiment fun de me balader avec Amandine comme si elle est ma femme aux yeux de tous.
— Je vois que tu as tout compris.

Nous en parlons aux femmes. Amandine est tout de suite d’accord. Blandine semble un peu dépassée. Est-ce pour cause de marche à pied, ou le fait de vraiment passer pour ma femme ? Ou le fait que cet échange de couple se fasse sans heurt, comme sur des roulettes ?

Je continue à flirter outrageusement sur la plage avec Blandine, et elle aime ça. Elle m’avoue au passage que ça la fait rajeunir de ...

... vingt ans. Alors je redouble d’ardeur pour lui faire rattraper le temps perdu.

Chose que je fais à nouveau quand nous revenons dans notre chambre pour y prendre une douche. Bien que ce n’était pas dans les projets de Blandine, nous l’avons prise à deux, collés l’un à l’autre, puis à peine séchés, je l’ai emmenée vers le lit pour lui faire subir quelques avanies. Je connais peu de femmes qui refusent qu’on leur fasse un petit cunni. Blandine se laisse entreprendre, les jambes bien écartées, tandis que je lèche suavement sa fente humide, mélange d’eau et de cyprine. Comme à mon habitude, je virevolte joyeusement, alternant exacerbation de son clitoris et exploration de sa fente.

Après avoir bien joui, elle accepte de me rendre la pareille en m’offrant une belle fellation. Bien qu’elle soit un peu maladroite dans sa façon de faire, il ne me faut pas longtemps pour éjaculer sur ses seins, car je comprends vite qu’elle ne souhaite pas que je me vide dans sa bouche.

Contemplant mon sperme qui macule ses seins et un peu son menton, je lui fais savoir ma satisfaction :

— Merci, Blandine…

Elle rougit :

— Je ne le ferai pas pour tout le monde…
— Justement, je t’en remercie !

Le repas du soir est joyeux, mais je sens bien que Barnabé est pressé d’entreprendre ma femme, sans perdre de temps. Je suis installé face à Blandine, et je la regarde manger. Il y a une petite trace luisante près du creux de ses seins. Je sais parfaitement ce que c’est. Impression étrange, mais ...