Première semaine de Vacances - Histoires de Sexe

Première semaine de Vacances

... famille), blonde, de jolis yeux verts, elle est canon.

Elle termine ses études de kiné avec Dania, son amie, celle qui doit nous rejoindre. Elles partagent un appartement à Vincennes. Elles se sont connues au début de leurs études, Dania est bi mais sa préférence va aux femmes, elle ne s’en cache pas. Je suis certain que ma sœur profite de son orientation sexuelle.

Ma sœur est une femme libérée, elle aime le sexe, mais sans contrainte. Elle est hétéro, mais à l’occasion, afin de satisfaire une envie, elle devient bi opportuniste. Le moins que l’on puisse dire d’elle, ce n’est pas romantique !

Deux jours avant le départ de mes parents, Dania nous rejoint, c’est l’occasion d’un super dîner fort convivial et bien arrosé.

Dania est une jolie Antillaise, 22 ans, 1,76 m, une belle soixantaine de kilos, cheveux coupés ras, musclée, aux formes harmonieuses, des superbes yeux gris-bleu. Ex-championne d’athlétisme, le sport de haut niveau lui a forgé le caractère. Elle est très taquine, en particulier avec moi.

J’ai fait sa connaissance au début de leur colocation, il y a un peu plus de deux ans. Elle vient régulièrement chez mes parents, je passe de temps en temps le week-end chez elles, à Vincennes. J’aime son humour, elle m’amuse beaucoup. J’avoue, je craquerais bien pour elle, mais je ne crois pas être son genre.

À peine mes parents partis, Dania n’a qu’une idée en tête : faire la fête et aller en boîte. Moi je ne suis pas fan de ce genre d’endroits, mais ma sœur ...

... est partante. À partir de ce jour, elles partent en goguette quasiment chaque soir.

Elles rentrent tôt le matin, souvent éméchées. Quelques fois, elles font irruption dans ma chambre, se jettent sur mon lit et me réveillent à l’aide de diverses chatouilles. Les filles bourrées sont pires que les mecs, mais pas le temps de riposter, il s'agit d'attaques éclairs, elles repartent aussi vite vers la chambre qu’elles partagent.

Un soir, après un dîner bien arrosé, elles s’acharnent sur moi et finissent par me convaincre de les suivre en boîte. Elles estiment que mon look habituel doit être amélioré.

Elles m’habillent classique, une chemise blanche sans col, un bermuda vieux rose délavé et mes converses blanches. C’est l’été et le dress code de ce genre de lieu est décontracté.

Nous voilà en route, à vélo, en direction la discothèque peu après minuit. Je danse avec les filles au milieu de cette foule déchaînée, dans une ambiance enfumée et étouffante. Nous sommes euphoriques.

Mes cheveux longs libres s’agitent au rythme de ma danse, ils frôlent mes épaules ce qui, de dos, donne une image trompeuse, pas très masculine… C’est moi, quoi !

Nous dansons depuis un bon moment au milieu de cette foule compacte, lorsque des mains se posent sur mes hanches et un corps se colle à mon dos au rythme de la musique, je tente de me dégager de l’emprise, ses mains caressent ma poitrine primitive. Je me retourne et proteste avec énergie en hurlant :

— Lâche-moi, connard !

Le ...