1. Ma voisine raffole de ma teub. (3)


    Datte: 15/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... Je l’aide un peu, place ses mains sur mon torse de telle façon qu’elle puisse monter et descendre mon gourdin dans ses entrailles.
    
    Pendant ce temps, Françoise jouant à la mouche du coche, tire sur le corps de Carole, comme pour tenter de soulager la pression des fesses tendres de son amie sur ma pine, comme si elle voulait protéger son jouet d’un accident malencontreux.
    
    Mais les contorsions de Carole accroissent mon envie de tenir tout contre moi son corps souple et frais qui, telle une liane, roule sous mes mains. Soudain, Françoise change de comportement et me supplie:
    
    — Laisse-la maintenant ! Tu l’as eue, cela devrait te suffire, je suis là, moi !...
    
    Ma parole... Est-elle devenue soudain jalouse ? Mais qu’est-ce qu’il lui arrive ?
    
    Plus elle essaie de nous séparer, plus je resserre Carole à la peau d’ébène chaude et luisante de sueur, envahie par une sorte d’ivresse qui atteint son bas-ventre et ses seins avant de s’étendre jusqu’aux extrémités de ses quatre membres. Suivant les mouvements, sa chatte s’ouvre et se referme au rythme des contractions de son bas-ventre pendant que son anus s’assouplit et s’élargit pour faciliter la pénétration de mon pieu joufflu et gluant. Je vois ses obus aux tétons énormes suivre la danse en se déformant sous les coups de boutoir que son corps absorbe. Elle soupire d’aise de se sentir envahie par la chaleur de ma poutre.
    
    Mais Françoise revient à la charge et veut nous séparer, envahie par une jalousie mal placée. Elle ...
    ... voudrait libérer son amie, mais Carole ne songe nullement à se séparer de moi, oubliant totalement les gesticulations folles de Françoise pour ne plus penser qu’au plaisir qui la fait frissonner.
    
    Je prends des coups et dois repousser Françoise, allongée tout près de nos corps imbriqués.
    
    — Mais laisse-nous tranquilles, Françoise ! Qu’est-ce qui t’arrive ? C’est bien ce que tu voulais en me piégeant de cette façon, non ?! Hurle Carole.
    
    Je me redresse, emportant Carole embrochée sur mon rostre et me dirige vers la chambre sous les coups redoublés de Françoise sur mon dos. Je rugis :
    
    — Tu vas nous foutre la paix, oui !
    
    — Fais de moi ce que tu voudras, me coupe Françoise, mais laisse-la tranquille !
    
    — Tu es ridicule, Françoise !
    
    L’interrompt Carole, qui remue du popotin contre mon sexe depuis que je l’ai jetée sur le lit, appréciant de sentir mon manche lui entrer entre les fesses, au niveau de la fourchette de la vulve s’échappe un filet de mouille qui goûte sur le lit de Françoise. Je laisse ma queue se faire décalotter et recalotter au rythme des coups de reins lents et appuyés de Carole.
    
    Je sens que mon foutre monte à nouveau de mes couilles vers le sommet de ma lance comme l’eau dans un puits artésien.
    
    Je décule et ma verge se redresse entre nos deux corps, je la prends d’une main pour guider ma baïonnette vers l’orifice des entrailles offert. Carole m’aide à représenter mon pieu entre ses fesses et le contact de sa main délicate contre la peau ...