1. Ma voisine raffole de ma teub. (3)


    Datte: 15/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Je veux me faire ma voisine. 3
    
    — Je te baise le cul ! Tu aimes ça ou tu ne préfèrerais pas une belle pine pour te ramoner le fion ?
    
    Carole prend le manche sans même réagir comme si c’était naturel pour elle, et mouillant de plus belle. Françoise sent que le moment est venu quand Carole vocifère :
    
    — Aaahhh ! Je jouiiisss ! Ouuuiii ! Nooonnn !
    
    Ses cris étouffent le bruit de la sonnette. Le déchaînement oral de Carole déclenchant la jouissance de Françoise qui lui promet :
    
    — Va ! Jouis autant que tu peux ! Tu n’as pas répondu à ma question, tu te tortilles sur ce manche que je t’ai mis dans le cul, mais je vais bientôt avoir ma réponse...
    
    Suite :
    
    Bon... Revenons enfin à la première personne du singulier, et à mon récit...
    
    On dirait que le piège de Françoise a fonctionné... Quand j’ouvre la porte de la salle de bains, je trouve les deux gouines en plein exercice. Je suis arrivé pile-poil au bon moment.
    
    — Dites donc, les filles, on dirait que vous vous donnez du bon temps, et regardant Carole, bonjour chère amie, vous vous rappelez de moi ? Nicolas ?
    
    Carole est très gênée, ne sachant quelle attitude prendre. Je ramasse ses habits et sors de la pièce.
    
    Elle me suit et essaie de récupérer ses frusques. Je la saisis par le bras et la jette violemment dans le divan. Elle a l’air en colère. Je la nargue :
    
    — Vous m’aviez caché vos talents, l’autre jour. Si j’avais su que vous aimiez être enculée, je vous aurais proposé mon aide.
    
    Carole est ...
    ... furibonde, je ne sais pas si elle se rend compte qu’elle est toujours en tenue d’Eve, une vraie statue d’ébène magnifique aux obus arrogants. Avant qu’elle ne se rebiffe et reprenne trop ses esprits, je déboutonne lentement mon pantalon et le retire ainsi que mon slip.
    
    Carole, malgré sa colère, ne peut empêcher son regard de se fixer sur mon dard qui pointe, dont le prépuce laisse entrevoir le gland. Ma grosse pine, tel un serpent, a l’air d’hypnotiser Carole.
    
    On dirait qu’elle se trouve fascinée par le spectacle de cette queue de mâle braquée vers elle.
    
    Je vois son vagin toujours animé de lentes contractions, elle continue de mouiller.
    
    Je retire mon tee-shirt et me mets à genoux sur le divan en haranguant Carole.
    
    — Viens me pomper, salope !
    
    Françoise, faisant la coquine derrière mon dos, lui rappelle mes exploits et lui demande si elle est partante pour un plan à trois. Mais le comble, c’est que Carole veuille vérifier mes talents de juteur.
    
    Pour l’instant, elle ne réagit pas, mais je vois bien que son regard s’est animé quand j’ai libéré ma teub et que mon mandrin s’est braqué vers elle.
    
    Elle commence à se détendre, je tends le bras, empoigne ses cheveux et approche de force son visage vers mon sexe dressé au milieu de mes poils pubiens. Elle est tellement surprise qu’elle entrouvre sa bouche et j’en profite pour faire pénétrer ma bite entre ses dents.
    
    Je lui maintiens fermement les cheveux pour qu’elle ait le maximum de ma tige dans la bouche.
    
    Vu la ...
«1234»