1. Ma voisine raffole de ma teub. (3)


    Datte: 15/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... taille de ma verge, je sens mon dard lui titiller la glotte, entraînant de sa part des haut-le-cœur.
    
    Je relâche la pression sur sa tête pour éviter qu’elle me vomisse dessus. Carole, plus libre de ses mouvements, continue seule, faisant aller et venir mon vit entre ses dents.
    
    Mon manche, à ce rythme, finit de gonfler et se niche entre le palais et la langue de Carole qu’elle s’applique à entortiller autour de mon gland qui glisse parfaitement dans sa bouche.
    
    J’ai beau être costaud, il ne lui faudra que quelques minutes pour m’amener au point de rupture.
    
    Un filet de salive relie ses lèvres entrouvertes à ma teub qu’elle prend en bouche et suce avec avidité et un plaisir évident. On dirait qu’elle adore la sentir dans sa bouche, faisant passer sa langue le long de ma hampe et sentant mon gland venir appuyer contre le fond de sa gorge.
    
    — Aaahh ! T’es une sacrée suceuse... Je vais cracher ! Avale tout, salope !
    
    En bonne fille, Carole déglutit pour absorber mes expectorations séminales. Elle ne veut pas abandonner ma lance et des dégoulinades de foutre maculent le coin de ses lèvres. Bien que j’ai fini de jouir, elle ne veut plus abandonner ma pine et continue pour l’égoutter, bien que je ne la force plus à me sucer.
    
    Une fois qu’elle a terminé de m’éponger le gland, Carole retire ma teub de sa bouche et descend vers mes couilles pour y récupérer quelques traces de foutre qui ont fuité.
    
    Je m’allonge pour plus de facilité. Carole reprend sa caresse, allant ...
    ... des couilles à la hampe, du ventre aux cuisses. Sur ses seins, elle sent mes doigts qui pincent ses tétons, qui descendent ensuite vers ses fesses. Elle se tourne même pour faciliter la pénétration de quelques phalanges dans son anus.
    
    Je reste immobile, attendant que ma verge finisse de reprendre une consistance plus apte à la suite en lui ramonant le cul. Quand elle comprend que mon engin est de nouveau prêt, elle m’ordonne :
    
    — Encule-moi ! Tu es un sacré loustic, toi ! Mais putain que j’aime ta belle teub !...
    
    Le cri du cœur, elle n’a pas froid aux yeux, la coquine, prête à sauter les étapes... Françoise la rassure :
    
    — Il est clean, tu peux y aller sans risque !
    
    Elle s’arrache de mes doigts, se tortille sur moi sans toutefois lâcher mon mandrin qui glisse rythmiquement dans sa bouche, salivant abondamment pour lubrifier mon dard. Puis Carole se place à croupetons sur mon ventre. Elle met mon défonce-cul juste en face de son objectif et s’empale brutalement sur mon obélisque dressé.
    
    Ma verge plie sous l’effort avant de finir par forcer la porte. Elle m’écrase les couilles.
    
    — Aïe !... Putain de salope ! Tu me casses la pine.
    
    — Wouaouh ! Quel morceau ! crie-t-elle encore plus fort que moi. Ça c’est de la bite !!!
    
    Elle est mal placée et doit s’appuyer sur ses mains pour se soulever, permettant à mon pieu de mieux se replacer et elle se poignarde aussitôt l’oignon. Une fois bien assise, bien à fond sur mon braquemart, elle tente à nouveau de se soulever. ...