1. COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (4/4)


    Datte: 13/01/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... coulée.
    
    Ce bruit venant du couloir où Lauriane vient de s’éclipser.
    
    Un instant l’idée de la rejoindre me traverse l’esprit, mais je me souviens que c’est la fille d’un amiral et il est possible qu’elle ait eu simplement envie de boire une bière entre deux copains.
    
    Un petit problème, rien pour décapsuler.
    
    Je suis un peu loin de la maison de Tahia, elle pourrait les ouvrir avec ses dents, mais j’ai plus d’un tour dans ma besace, je récupère une pièce et d’un coup rapide les deux capsules sautent.
    
    Je vais vers le canapé blanc sur un mur blanc, la cuisine étant blanche et je pose les bières sur la table basse en bois blanc elle aussi.
    
    Il y a deux fauteuils blancs comme le canapé je pose mes fesses sur l’accoudoir de celui de gauche.
    
    Lauriane sort du couloir, son corps est entouré d’une large serviette tenue au-dessus de ses seins et avec une autre enfermant ses cheveux.
    
    Elle vient s’assoir dans le fauteuil où je suis moi-même assis.
    
    Je lui tends sa bière, nous trinquons en tapant nos deux goulots.
    
    De la mousse s’échappe venant tomber sur la serviette.
    
    Je fais un mouvement, je l’accroche, elle se dénoue et tombe dénudant le haut de son corps.
    
    - Dis-moi, Christian, tu es bien rapide, si tu voulais voir mes seins, il suffisait de demander.
    
    - Excuse, c’était un accident.
    
    - Bien plaisant ma foi, il fait si chaud, comment les trouves-tu ?
    
    Je sens l’invitation, c’était réellement pour boire un dernier verre coquin, putain, quelle chance, ...
    ... Alain nique la belle-mère, je vais baiser la fille.
    
    L’amiral va être cocu sur toute la ligne.
    
    Les Parigots, question cul nous sommes bien les meilleurs lorsque l’on s’en donne la peine.
    
    J’avance ma main et je caresse sa poitrine, ses pointes cachées sortent de leur torpeur.
    
    - Christian, j’ai un fantasme depuis que je suis toute petite !
    
    - Dis-moi lequel, je vais essayer de le satisfaire ?
    
    - Depuis le début de ma vie, mon père a été entouré de jeunes marins comme toi dans ces diverses affectations.
    
    À Hourtin près de Bordeaux, à Dakar, à Brest sans oublier Toulon et encore Lorient.
    
    Avant Tahiti où je l’ai suivi juste avant que je sois majeure, mon père était au ministère de la marine à Paris.
    
    J’aimerais voir ce qui se cache sous vos ponts.
    
    Je me lève, elle défait les quatre boutons, mon pont tombe.
    
    - À oui, c’est sympa, ou peut directement se servir, tu me parlais des jeunes officiers que je serais susceptible de fréquenter en priorité, ils ont des pantalons, tu dois comprendre la difficulté.
    
    Sans me laisser le temps de répondre, elle se saisit de ma verge, comme Alain je suis sans sous-vêtements dans ce pays chaud.
    
    Comme elle, je suis passé à Dakar et dans ce pays aussi, il faisait chaud et c’est là-bas que j’ai enlevé mon sous-vêtement.
    
    Était-elle là-bas à cette époque ?
    
    Mais j’ai d’autres chats à fouetter, la coquine me saisit et avance sa bouche.
    
    Je suis bien élevé, surtout en présence d’une jeune femme de cette qualité, je vois ...
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