Tina poursuit ses épreuves (3) - Histoires de Sexe

Tina poursuit ses épreuves (3)

... et là, j’ai senti monter en lui une poussée d’adrénaline qu’il a essayé de retenir, de cacher. Mais je voyais son trouble dans ses gestes. Je n’ai rien fait pour faire retomber son excitation, bien au contraire.

Des frôlements d’une main sur sa peau, des frôlements de son corps par le mien n’ont fait que provoquer et aiguiser un désir mutuel.

La table mise, je lui ai demandé d’aller au salon pour préparer l’apéritif pendant que je préparais quelques amuse-bouche.

Le décor était posé.

Lui assis dans le canapé, moi encore debout en lui servant son verre. Penchée sur la table basse, mes fesses bien moulées dans la jupe, je lui tournais le dos. Je sentais sur moi un regard de braise.

Lentement, je me suis retournée, lui tendant son verre et me suis laissée tomber à genoux devant lui. Instinctivement, il a ouvert ses cuisses pour que je puisse me mettre près de lui. Je tenais son verre avec un regard enflammé, les yeux dans les yeux, un moment silencieux, mais une ambiance de plus en plus chaude.

Sans lâcher son verre, il a posé sa main sur ma tête comme pour me guider, mais il n’y avait pas besoin, je ne désirais plus qu’une chose : le rendre fou de plaisir.

En moi, une chaleur dévorante faisait naître en moi cette envie d’être une véritable salope dressée par Son Maître.

Mes mains se sont activées pour défaire sa ceinture, ouvrir son pantalon et faire jaillir cette hampe dressée et désirée. Là, tout a basculé. Je n’étais plus qu’une salope chaude brûlante ...

... qui devait s’occuper d’un mâle en rut, une femelle en manque de sexe.

L’aidant à quitter son pantalon, mes mains posées sur ses hanches, juste ma bouche et ma langue pour m’occuper de sa queue comme une bonne "professionnelle.

La léchant sur toute sa hauteur, tétant ses bourses, happant son gland, jouant de ma langue dessus, l’enfournant jusqu’au fond de ma gorge. A ce rythme, je savais qu’il n’allait pas tenir longtemps, et j’étais brûlante, la chatte trempée, une salope à baiser.

Je me suis dégagée, et c’est lui qui a pris les choses en mains. En rut, excité et ne tenant plus, il m’a poussée pour que je tombe à 4 pattes. Je l’entendais râler de plaisir, des mots que je ne saisissais pas, la tête dans un brouillard dévastateur.

Brusquement, il a relevé ma jupe sur mes hanches, m’a presque arraché le string et je l’ai entendu dire :

— Je vais te baiser comme une salope.

J’ondulais des reins pour le provoquer encore plus :

— Oui viens, prends-moi comme une chienne.

Je n’ai pas eu à le dire plusieurs fois. D’un coup, un pale m’a envahie à me faire hurler de désir. Prise sans ménagement, saillie comme une salope, prise, baisée, je ne sais combien de temps je râlais, je criais. Nos râles se mélangeaient, me tenant fermement par les hanches, il m’a projetée contre lui d’un coup sec et m’a fait exploser tout en sentant en moi un jet de semence se vider en moi...

Tremblante de plaisir, le sentant planté en moi, je me suis laissée glisser au sol, son corps ...