1. Souvenirs de mon année Erasmus (3)


    Datte: 10/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Napelast, Source: Xstory

    ... la collocation du sexe débridé ici.
    
    — Elle m’a proposé plusieurs fois un plan à trois avec son copain, mais je ne le trouve pas vraiment beau. Et puis l’anal, ça ne me dit rien, je prends suffisamment de plaisir par l’entrée classique. D’après elle, le plaisir est vraiment différent. C’est son copain qui lui a fait découvrir et depuis, elle ne peut plus s’en passer.
    
    — Tu aurais dû essayer, on ne sait jamais ! Bon, il est temps de rentrer maintenant.
    
    En me rhabillant, je lui glissai quelques baisers, puis rapidement, je quittai les lieux. Quelle furie, pensais-je, elle n’en a jamais assez.
    
    Je rentrais à pied jusqu’à la résidence, car après 10h, il n’y avait plus de bus. Le gardien me laissa entrer sans rien dire quand je lui montrai ma carte : avant minuit, ça ne posait pas de réel problème.
    
    Le « couloir Erasmus » était très sombre et silencieux. Ils étaient probablement tous partis à la soirée ensemble et les connaissant, ils n’allaient pas revenir de bonne heure. Seul peut-être Rafael était déjà rentré, ce qui expliquerait son SMS.
    
    Je rentrai la clé dans la serrure et ouvris la porte avec précaution pour faire le moins de bruit possible. Ma suspicion était fondée, l’appartement n’était pas vide. En revanche, je fus surpris d’entendre que Rafael semblait accompagné d’une fille dans sa chambre. Une fille qui appréciait sans aucun doute ce qu’il était en train de lui faire.
    
    La porte de la chambre était fermée, mais je pouvais voir qu’il y avait du monde à ...
    ... l’intérieur avec le halo de lumière sous la porte et le bruit qui s’en échappait. D’ailleurs, sans prendre trop de risques, je pouvais parier que la fille en question était en train de se faire prendre en levrette, vu le bruit caractéristique cuisse/fesse que je distinguais.
    
    Je restai figé. Selon toute vraisemblance, Rafael devait être à l’intérieur. Mais qui pouvait être sa partenaire ? Impossible de le savoir, il ne me restait que les suppositions. C’était une bruyante dans tous les cas. Elle n’hésitait pas à crier tout ce qu’elle pouvait tant les coups qu’elle prenait semblaient jouissifs. La rapidité du claquage des cuisses était impressionnante : jamais je n’aurais pu tenir un tel rythme. Rafael devait avoir eu la chance de s’entretenir de manière intensive pour réaliser de telles performances.
    
    Bien que la situation m’excitait fortement, je ressentais en même temps une certaine gêne. Ils ne se doutaient pas que quelqu’un se trouvait de l’autre côté de la porte et je n’avais pas d’autre choix que de faire du bruit pour pouvoir rentrer dans ma chambre : le séchoir avait été positionné juste devant la porte.
    
    Il était impossible de le bouger sans faire du bruit et les déranger dans leurs ébats. Je n’avais pas non plus envie de poireauter dehors à attendre, j’étais tout autant chez moi que chez lui. Je poussai donc le séchoir sur la longueur et comme je l’avais imaginé, ils m’entendirent et les claquages cessèrent.
    
    — Il y a quelqu’un ? demanda Rafael.
    
    — Oui, ...