1. Souvenirs de mon année Erasmus (3)


    Datte: 10/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Napelast, Source: Xstory

    Depuis une semaine, nous n’avions pas cessé de nous voir et de faire toutes les choses imaginables sur son petit lit grinçant. À ma grande surprise, je me rendis compte que ses besoins en la matière parvenaient même à dépasser les miens. C’était assez inédit pour moi : jeune inexpérimenté, je n’aurais jamais imaginé un tel appétit sexuel en provenance du sexe opposé.
    
    Pourtant, bien que j’appréciais énormément nos ébats (j’en étais rapidement devenu dépendant), je n’arrivais pas à savoir s’il y avait véritablement de la passion dans notre relation. Y en avait-il par ailleurs dans son rapport à la sexualité ? Elle semblait aborder cela de façon tellement simple et naturelle que j’arrivais à me demander si le sexe, pour elle, n’était pas juste un moyen qu’elle avait découvert pour se faire du bien, tel un enfant qui découvre un nouveau jouet et qui n’arrive plus à s’en passer pendant une période donnée.
    
    J’avais l’impression de faire l’amour à une adolescente de lycée, pour qui tout est incroyable. Comme si le niveau pour moi était trop facile. Plus je faisais l’amour avec elle, plus mon besoin d’être avec une femme m’occupait l’esprit. Une femme expérimentée. Une femme pour qui, faire l’amour avec serait un challenge, charnel, passionné, épuisant, tout simplement jouissif.
    
    J’avais cela en tête sans trop savoir ni comment ni pourquoi cela me venait. Quel enfant gâté, pensais-je, tu as une ravissante fille qui baise avec toi dès que tu en as envie et tu n’es pas ...
    ... satisfait... C’est toujours la même complexité qui traverse n’importe quel être humain.
    
    Pour autant, ces pensées ne m’empêchaient pas de continuer à m’amuser avec Krystyna. Elle aussi d’ailleurs prenait son pied. D’après ses dires, désormais, elle ne pouvait plus se passer de cette sensation, ce plaisir pur : « l’envie de se faire remplir » disait-elle.
    
    À peu de choses près, nos parties de jambes en l’air se déroulaient toujours de la même façon. Elle mouillait très rapidement et n’était pas très « intéressée » par des préliminaires. Ce n’était pas un problème pour moi, qui à la vue de sa poitrine, me mettait au garde-à-vous aussitôt. Elle baissait sa culotte et attendait que ma bite violente son antre. « La tienne me va à merveille, y a pas à dire, la taille ne fait pas tout, mais elle fait un petit peu quand même » me disait-elle avec le sourire. Consciente que je n’avais pas l’entraînement suffisant pour pouvoir tenir une heure sans venir, elle parvenait à jouir en s’aidant de sa main avant que je puisse me vider dans le préservatif.
    
    J’adorais la voir jouer du bout de ses doigts avec ses lèvres gonflées par l’excitation. Pas besoin de lubrifiant avec elle, sa cyprine suffisait amplement à maintenir l’ensemble bien humide. Elle entamait l’ultime phase de sa jouissance par un massage de son clito en faisant des cercles. D’abord avec un seul doigt puis un deuxième et un troisième, tout en augmentant la pression exercée. Elle y allait parfois tellement fort, qu’il lui arrivait ...
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