1. Souvenirs de mon année Erasmus (3)


    Datte: 10/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Napelast, Source: Xstory

    ... de faire apparaître son clitoris à l’air libre, pourtant à l’abri d’ordinaire sous un large capuchon. C’est souvent lorsque son bouton de plaisir voyait la lumière qu’elle poussait son dernier râle.
    
    Son autre main était aussi utilisée à bon escient. Parfois notamment pour effectuer un massage de mes bijoux de famille, pendant la pénétration, que j’affectionnais particulièrement.
    
    Tout cela était très excitant et rien que d’y penser quand je passais une journée sans la voir, j’en bandais fort dans mon caleçon.
    
    Un jour, nous avions baisé dans les toilettes de la fac. Elle était venue en cours sans culotte et juste à la fin de la classe, elle avait pris ma main pour la faire passer sous sa jupe afin que je puisse attester de sa moiteur. Jupe remontée, porte refermée, la peur dans le ventre de se faire surprendre, je l’avais prise rapidement par-derrière, nous procurant à tous les deux un puissant orgasme.
    
    J’adorais voir sa poitrine balancer sous mes coups de boutoir. Une poitrine magnifique, volumineuse et qui se tenait si bien. Je pouvais passer de longues minutes à les malaxer, sucer ses tétons qui pointaient à la moindre caresse. Bref, ces moments avec Krystyna étaient divins.
    
    Un soir chez elle (sa coloc n’était pas là pour une partie de la soirée), alors que nous avions déjà baisé deux fois dans l’après-midi et qu’il commençait à se faire tard, elle ne semblait pas lassée du sujet. Elle s’amusait avec ma queue et mes couilles en effectuant une inspection ...
    ... complète à coup de langue. J’étais fatigué des efforts fournis, mais bandais quand même à moitié.
    
    C’est alors que je reçois un SMS de Rafael. Il me demandait si j’étais à la soirée Erasmus (organisée dans un club de la ville), ou dans notre appartement. Je n’étais ni à l’une ni dans l’autre. Mais c’est en regardant l’heure que je me rendis compte qu’il était grand temps de rentrer. Il y avait des règles strictes d’entrées et de sorties dans ma résidence auxquelles il était difficile de déroger sans inventer des combines.
    
    — Il va falloir que j’y aille moi, ta coloc pourrait rentrer et me voir dans cet état-là. Et ce n’est peut-être pas ce qu’elle s’attend à voir en rentrant, lui dis-je.
    
    — Oh non, reste encore un peu ! Elle va sûrement rentrer plus tard que prévu et puis elle n’est pas du genre à être effrayée par un beau jeune homme en tenue d’Adam, glissa-t-elle en souriant. Sauf qu’elle est plutôt du genre à se les prendre dans l’autre petit trou, si tu vois ce que je veux dire.
    
    — Ah bon ? C’est intéressant ça, répondis-je avec le sourire en coin tout en saisissant mon jean.
    
    — Si tu savais. Je connais tous les détails, car elle n’est pas pudique pour un sou de ce côté-là. Et puis quand son copain vient, ils ne sont pas gênés pour baiser dans la chambre alors que je suis dans la pièce d’à côté. Le nombre de fois où ça m’a excité et que j’ai dû me caresser pour me calmer... Avant que tu arrives, c’était le seul moyen que j’avais de me satisfaire.
    
    — Dis donc, c’est ...
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