1. Expatriés


    Datte: 01/02/2018, Catégories: fh, fhh, hbi, hsoumis, Oral Partouze / Groupe hsodo, jouet, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... engagée sur l’engin, Lise le regarde. Il l’aime. Elle l’aime. Combien Marc est heureux de cette faiblesse qui a transformé leur vie. Maintenant il n’a plus besoin d’être soumis pour bander, mais c’est encore meilleur. De voir sa femme ainsi, le comble. Le comble. Mais c’est plutôt Lise qui peut le dire à l’instant, car le deuxième homme, celui à la queue effilée et qui a parfaitement compris ce qu’on attend de lui, en justement en train de se placer.
    
    Oh, combien je regrette à cet instant d’avoir les mains liées dans le dos, pense le mari.
    
    Oh combien j’aimerais pouvoir guider le gland rose, que la circoncision dévoile totalement, vers le trou qui brille de ma salive. Tenir la verge et la guider. La voir forcer l’anus et se glisser dans les profondeurs.
    
    — Ahhhhh, souffle l’enculée.
    
    Lise adore cette pratique. C’est bien meilleur que ce qu’elle faisait avec ses sextoys. Elle n’a qu’un regret, c’est l’obligation de faire mettre des capotes à ces inconnus. Elle ne connaîtra pas le plaisir de sentir le foutre l’inonder et couler pour former avec son propre plaisir une rivière où son mari pourrait s’abreuver. Mais la puissance des inconnus se charge de lui faire oublier ce détail.
    
    Pendant que Marc regarde sa femme se faire défoncer par les amis d’Antoine, Abiou s’est levée. Elle vient s’allonger à côté de son amie. Un baiser entre les deux femmes scelle leur complicité. Car cela aussi, Lise l’a découvert. Le plaisir entre femmes. Mais pour l’instant ce sont deux ...
    ... queues qui la bourrent.
    
    Je me lève. J’aide Marc à se soulever. Il est très difficile de se redresser avec les mains liées dans le dos. Je le guide pour le placer entre les cuisses d’Abiou. Sa queue trouve d’elle-même le chemin de la grotte que ma propre queue vient de quitter.
    
    Mari et femme sont à l’unisson. Il ne manque plus que moi. Retirer le plug du cul de Marc est un plaisir. Le sodomiser d’une poussée violente est une joie. Maintenant je ferme les yeux. Mes sens s’aiguisent. Je suis le chasseur. J’entends, je sens, je ressens.
    
    À mon côté, la gazelle a trouvé son maître. La longue tige entre et sort de ses fesses, la poussant toujours un peu plus sur le pieu rustique, mais fort du partenaire allongé.
    
    J’entends le bruit sourd du ventre qui claque les fesses. C’est la mélopée, celle que le tam-tam rythme.
    
    Je suis entraîné à mon tour. Moi aussi je claque mon ventre sur des fesses. Et si ce sont des fesses d’homme, cela n’en est que meilleur. La mélopée augmente. Les gémissements se mélangent. Est-ce Marc qui gémit ? Est-ce sa femme qui subit. L’odeur du rut est une fragrance que toutes les époques connaissent. Mais l’harmonie fait place au chaos. On n’entend que des cris de plaisir. D’une dernière poussée qui doit quasiment traverser Marc et propulser sa propre queue au plus profond d’Abiou, je largue les amarres. Mon foutre jaillit. Source de vie, il va pourtant se perdre dans des contrées lointaines et infertiles, mais il déclenche et amplifie l’éjaculation de ...