1. Expatriés


    Datte: 01/02/2018, Catégories: fh, fhh, hbi, hsoumis, Oral Partouze / Groupe hsodo, jouet, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... moment pareil, gronde Lise. Et elle continue, mais s’adressant à son mari.
    — On s’en fout des lecteurs, occupe-toi d’eux. Tiens, lui, regarde comme il est long et profilé. Je vais me le prendre par-derrière. Par contre, lui est parfait pour me baiser devant.
    — Mmmummummu.
    
    Il faut dire que Marc a de quoi s’occuper.
    
    Par mon travail, je connais beaucoup d’hommes célibataires, émigrés comme moi et qui bien sûr sont partant pour une bonne baise. Et quoi de meilleur pour eux, presque une sorte de revanche, d’être invités chez des autochtones, bourgeois de surcroît, avec le programme annoncé de « se faire » la femme du proprio. Et actuellement, justement c’est le proprio qui les suce sous les ordres de sa femme. Et non seulement elle ne cesse de l’encourager par la parole avec des mots si crus que jamais ils ne pensaient l’entendre dans la bouche de cette jeune femme si distinguée, mais en plus elle tient la tête de l’homme entre ses mains le forçant à engloutir chacune des bites qu’on lui propose.
    
    Mmmmmmmmm… est bien la seule chose qui peut sortir de la gorge de Marc en dehors des gargouillis que la salive pistonnée par la queue que Lise force à avaler jusqu’aux couilles.
    
    Le spectacle est magnifique. Je ne m’en lasse pas. Abiou non plus d’ailleurs qui est assise sur mes genoux. Elle et moi, nous nous caressons mutuellement. Que de chemin parcouru depuis cette fameuse soirée où Lise m’a invité dans le but de provoquer son mari. Après qu’elle a invité Abiou à nous ...
    ... rejoindre, tous les tabous sont tombés. Et depuis, en France, c’est encore mieux.
    
    Pour pimenter le jeu, Marc a les mains attachées et un énorme plug dans le cul. Pourtant maintenant il n’a plus besoin de cette stimulation pour bander. Mais cela contribue à l’ambiance. Mes deux copains sont aux anges. Il sait sucer, le Marc ! Lise le force, mais ce n’est presque pas nécessaire. Les deux queues brillent et paraissent de vrais pieux de chair.
    
    — À moi, dit Lise tout en libérant la tête de son mari pour s’asseoir à côté des deux hommes.
    
    Marc rampe vers elle. Les cuisses grandes ouvertes de sa femme l’accueillent. Il se penche.
    
    — Ma fente… oui… ouvre-moi… je mouille déjà d’envie… mon cul aussi… Voilà, ouvre-moi avec ta langue… Pousse-la pour que la queue trouve le chemin préparé.
    
    Marc s’exécute. Tous les yeux sont braqués sur lui. Il s’active. Il suce, lèche, humidifie, dilate. Abiou me branle doucement. Je bande. Elle aussi est humide. D’une reptation lente, la fente vient sur mon gland. Abiou s’assoit. Je glisse dans son fourreau. C’est bon. C’est tiède, gras, accueillant. Mais nous ne bougeons pas. Le spectacle est juste devant.
    
    Depuis cette journée, Lise s’est révélée une parfaite maîtresse, parfaite organisatrice de nos plaisirs, toujours surprenante, arrivant à nous étonner à chaque fois.
    
    Elle pousse un des hommes sur le lit. Marc toujours agenouillé regarde. Il regarde, à moins d’un mètre, sa femme se prendre sur la grosse queue qu’il lui a préparée. Une fois ...