1. Expatriés


    Datte: 01/02/2018, Catégories: fh, fhh, hbi, hsoumis, Oral Partouze / Groupe hsodo, jouet, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... visage de son mari est souillé de salive. Elle forme des coulures et des tas infâmes, mais si « sexe » que cette vision excite Lise. Mais il semble qu’Antoine donne des signes de faiblesse. Lise lui fait signe de ne pas jouir dans la gorge de son mari et elle lui montre son ventre. L’homme retire sa queue de la grotte accueillante. La bouche de Marc est maintenant écrasée par les grosses couilles pendant que son baiseur se branle.
    
    C’est magnifiquement pervers et obscène. Jamais Lise n’aurait imaginé cela. Elle ne quitte pas des yeux le bout rose et soudain une giclée en surgit. C’est si puissant que le foutre va jusqu’à elle. Le contact l’électrise et alors qu’elle sent que Marc inonde son vagin, sa jouissance arrive. Elle ne sait plus ce qui est le meilleur. Tout contribue à son plaisir. Deux bites s’ébrouent et elle-même se sent couler.
    
    Quelques minutes plus tard, le trio reprend son souffle. Marc s’est essuyé le visage et le ventre. Lise est perdue dans ses pensées. Que s’est-il passé vraiment ?
    
    Et puis elle aperçoit Abiou sur le pas de la porte. Nul doute que la coquine se soit régalée du spectacle. Sa présence paraît anachronique. Le trio est nu et elle a son petit tablier et en plus tient un plumeau dans la main.
    
    Déjà Lise envisage de… Il faut vérifier que Marc…
    
    — Entre, Abiou. Si je te disais que ton patron doit être puni parce qu’il ne te désire plus, que ferais-tu ?
    — Oh, Mam’Lise, je commencerais par…
    
    Voilà donc l’histoire de Lise et de ...
    ... Marc.
    
    Je vous entends dire que j’ai tout inventé.
    
    Que c’est faux.
    
    Mais, pour vous mettre sur la piste, si je dis que je m’appelle Antoine, est-ce que cela vous aide.
    
    Oui ? Non ? Et pourtant.
    
    Lise et Marc sont rentrés en Europe. Mais ce sont des patrons sympas et ils nous ont aidés. Il faut dire qu’Abiou et moi, on avait un vécu particulier avec eux. Mais une fois rentrés, certains se seraient dépêchés d’oublier et surtout ne pas conserver de contacts de ce qui pouvait être considéré comme une période trouble ou non avouable.
    
    Mais non, ils ont accepté de se déclarer « Correspondants » officiels des deux immigrés qu’Abiou et moi étions en France. Nous aussi nous sommes des expatriés, mais ici cela ne veut pas dire la même chose.
    
    Bref, ils nous ont aidés. Ils nous ont logés pendant tout le temps nécessaire pour qu’Abiou puisse travailler dans un salon de coiffure « Afro » et que moi, je trouve mes marques dans les métiers du bâtiment.
    
    Et le reste, vous pensez ? Au pays, notre quatuor avait pris des habitudes. Pas un instant je pense que Lise et Marc aient imaginé arrêter nos jeux. Certains d’entre vous l’ont certainement vécu. Dès que l’on sort du classique et que chacun y trouve son compte, il est quasi impossible de revenir en arrière.
    
    Alors régulièrement ils nous invitent. Justement nous sommes chez eux.
    
    — Marc, certains lecteurs pensent que j’ai tout imaginé ! demandé-je à mon hôte.
    — Mmmummummu, est sa seule réponse.
    — Antoine ne le dérange pas dans un ...
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