1. Moi paysanne maîtresse du sexe (2)


    Datte: 08/01/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... plus.
    
    — C’est vrai, mais chez nous, chacun a son blaireau, un pour papa, un pour pépé, un pour Jules.
    
    — C’est qui Jules ?
    
    — Mon frère.
    
    Louise reprend son rasage, elle commence en dessous du nombril avec beaucoup d’attention, ça dure une vingtaine de minutes, elle passe sa main sur mon abricot maintenant lisse comme une peau de bébé, quand sa main passe au-dessus de mon petit bouton, j’ai une sorte d’éclair qui me traverse le corps, mon bas-ventre donne un coup en avant.
    
    — Les filles, je crois qu’elle est des nôtres, elle réagit très bien. Ça va plaire à madame, venez voir son abricot comme elle dit, il est très mignon, très fin.
    
    Denise et Marthe se penchent entre mes jambes, je suis complètement sidérée, que font-elles ?
    
    — On en mangerait.
    
    — C’est bien ce que j’ai l’intention de faire, Marthe, va chercher un miroir.
    
    Marthe quitte la pièce, pendant ce temps, Louise passe sa main sur ma peau, en bas du ventre, lentement, sans trop appuyer, je dois dire que j’aime bien cette sensation, c’est très agréable. Marthe revient avec un grand miroir, elle le positionne pour que je puisse voir mon abricot. Il est lisse, je vois une masse rose, entourée de deux bandes de chair. Louise pose son index et son majeur en long et les écarte, je vois une sorte de trou, je sais que c’est là que les hommes mettent leur zizi quand ils s’amusent avec des filles.
    
    — Tu avais déjà vu ton abricot ?
    
    — Non, jamais.
    
    — Je peux te dire que le tien va beaucoup plaire à ...
    ... madame.
    
    — Comment ça plaire à madame, elle va le voir ?
    
    — Tous les jours, comme les nôtres.
    
    Je les regarde, complètement ahurie, qu’est-ce que ça veut dire ? Dans quoi mon père m’a-t-il envoyée ? Louise pose ses mains sur mon ventre.
    
    — Calme-toi, il n’y a rien de méchant, tu verras demain, nous ne pouvons rien te dire, mais regarde-nous, avons-nous des têtes de filles martyrisées ?
    
    — Non bien sûr que non.
    
    — Alors, détends toi et laisse-moi faire, vas-y, passe ta main dessus, tu vas voir, c’est super doux.
    
    Je pose ma main en bas de mon ventre, c’est en effet très doux, ma peau est lisse. Les filles me font allonger sur le lit, Marthe m’écarte les jambes, Louise se met entre elles à genoux.
    
    — Magnifique les filles, il est magnifique, surtout ce renflement au-dessus, comme moi, madame va adorer. Ne bouge pas, laisse-toi aller.
    
    Elle se penche sur mon abricot, d’un seul coup, je sens sa bouche dessus, comme avec Bérangère, je me laisse aller, je veux bien revivre ce que j’ai vécu tout à l’heure, je ferme les yeux.
    
    — Vas-y Louise, elle semble beaucoup aimer.
    
    Sa langue me titille tout l’abricot, elle me lèche comme un chat qui lape son lait, elle essaie de rentrer dans mon trou, instinctivement, mon corps se soulève, mes jambes s’écartent, comme pour lui faciliter la tâche. Je sens l’onde se former, elle grossit doucement, quand soudain une bouche vient me titiller le sein gauche, une autre le sein droit, je ressens des ondes que je n’ai jamais senties, ...
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