Moi paysanne maîtresse du sexe (2)
Datte: 08/01/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... beaucoup plus jeune que monsieur.
— Elle a vingt-trois ans et lui cinquante-huit, ils se sont mariés il y a trois ans. Elle est anglaise, mais elle vit en France depuis quatre ans.
— C’est ça son accent ?
— Oui, elle a encore un léger accent anglais, mais elle fait attention, elle veut parler français sans accent.
— Mais Bérangère m’a dit qu’elle travaillait depuis vingt-cinq ans dans sa famille, elle est anglaise ?
— Non, française, elle était chez ses parents, elle était sa préceptrice, tu verras, c’est la personne la plus importante ici après madame.
— J’ai remarqué qu’elle tutoyait madame.
— Bien sûr, c’est elle qui l’a mise au monde, elle est un peu comme sa seconde mère.
— C’est elle qui a mis au monde madame, mais comment ?
— Tout bonnement parce que sa mère a accouché plus tôt que prévu tard le soir et il n’y avait que Bérangère et le mari de sa mère chez eux. Elle a fait comme elle avait vu faire pour la naissance de son petit frère. Elle venait d’être embauchée pour être la préceptrice de l’enfant à venir qui devait s’appeler Charles.
— Ils voulaient un fils.
— Oui, et ça a été une déception énorme, c’est pour ça qu’elle s’appelle Charlotte.
— Dis donc, heureusement qu’elle était là.
— Oui, et c’est elle qui s’est occupée de madame quand elle était petite, elle ne lui parlait qu’en français, c’est comme ça qu’elle a appris et qu’elle parle si bien. Ses parents ne s’en sont presque pas occupés déçus d’avoir une fille. En ...
... réalité, Bérangère vient d’une grande famille bourgeoise de Paris, elle a eu une excellente éducation, son père était conseillé de Louis XV et de Louis XVI à Versailles, c’était un financier, il a été décapité pendant la révolution, ses biens ont été confisqués. Elle avait dix-huit ans quand elle est entrée au service de cette famille anglaise, elle n’était pas en France pendant la révolution.
— Je comprends mieux.
— Au fait, les filles vous avez entendu ce qu’a dit madame, elle ne veut plus voir ces poils. Marie, déshabille-toi.
— Je crois que j’ai été plus souvent nue qu’habillée depuis que je suis dans ce château, c’est toujours comme ça la vie de château pour les servantes ?
— Non, c’est un peu spécial, madame est très à cheval sur la propreté et l’hygiène, c’est son éducation anglaise, en plus, elle déteste les poils en bas du ventre, c’est un nid à morpions comme elle dit.
— C’est quoi l’hygiène ?
— Par exemple, te laver la fraise tous les jours, t’essuyer la fraise quand tu vas faire pipi et te laver les mains après, te laver les mains quand tu vas manger, toute une série de choses à faire pour rester propre. Ne t’en fais pas, on te montrera au fur et à mesure.
— C’est quoi la fraise ?
— Ce que tu as sous tes poils en bas du ventre.
— Moi, j’appelle ça l’abricot.
— Si tu veux, on dit aussi la pissette, le minou, le bénitier, la craquette, le trou, la cramouille, et madame parle aussi de minette ou de vulve.
— Comment tu connais tous ces ...