Moi paysanne maîtresse du sexe (2)
Datte: 08/01/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... ici, mais je ne peux pas me défiler, et puis j’ai bien senti que ça ne me déplaisait pas d’être nue, même devant quelqu’un. J’attends que les filles arrivent, l’une d’elles déboutonne ma robe, je me retrouve assez vite nue devant la jeune femme. Elle me regarde, elle tourne autour de moi, je sens son regard sur moi, mais aussi ceux des autres filles. Je sens mon ventre se crisper, je ne comprends pas pourquoi.
— Qu’en pensez-vous les filles, elle reste avec vous ?
— Oh oui madame.
— Oui.
— Oui.
— Très bien, rhabillez-la, mais il va falloir vous occuper de cette touffe de poil immonde. Louise, je t’en charge.
— Très bien madame Charlotte.
Décidément, mes poils révulsent tout le monde, il faut dire que j’ai une touffe énorme avec des poils très longs. Louise est celle qui a répondu oh oui madame, elle est très belle, j’ai un drôle de sentiment en la voyant. Les filles me rhabillent, mais je sens plein de mains se poser sur ma poitrine et mes fesses, elles glissent sur ma peau, que font-elles ? je ne sais pas, mais j’aime, il est relativement tard, le soleil commence à décliner rapidement, on ne doit pas être loin de six heures du soir, d’habitude j’ai déjà mangé.
— Suis-nous.
Je suis les filles qui m’amènent dans un coin du château, elles vont vers une sorte de vasque, elles se lavent les mains, je fais comme elles. Nous arrivons ensuite dans une grande cuisine, il y a quatre assiettes sur le coin d’une table, nous allons nous assoir chacune devant ...
... une assiette, c’est une soupe. Je vois les filles prendre une sorte de petite louche, la plonger dans l’assiette pour la porter à leurs bouches. Je vois que j’ai la même sur le côté droit de mon assiette avec un couteau, de l’autre côté, il y a comme une minuscule fourche.
— C’est quoi ça ?
— Des couverts, tu ne connais pas ?
— Non, je n’en ai jamais vu.
— Et comment tu manges ta soupe chez toi ?
— On boit à l’assiette.
— Et le reste ?
— Avec les doigts.
Elles me regardent, un peu amusées, elles me montrent comment faire, il me faut trois essais avant de pouvoir manger ma soupe. Nous la mangeons, elle est très bonne et très consistante, je pense que c’est fini comme à la maison, quand l’une d’elles se lève et prend nos assiettes. Elle revient avec des pommes de terre coupées en rondelles dans les assiettes. Elles sont cuites, mais je ne sais avec quoi. Elles prennent la minuscule fourche et la pique dans les patates. Je fais pareil, c’est assez pratique et surtout, je ne me salis pas les doigts. Je goûte, c’est excellent, mais je ne sais pas quelle est la matière grasse qui a servi à les cuire. Ça ne ressemble pas au saindoux de la maison. Je regarde une fille d’un air interrogatif.
— Quelque chose qui te gêne ?
— Je n’arrive pas à savoir avec quoi on a fait cuire ces patates.
— Avec du beurre bien sûr ?
— Du beurre ? C’est la première fois que j’en mange frit comme ça.
— Mais avec quoi on fait la cuisine chez toi ?
— Du saindoux, c’est ...