L'auberge (3) - Histoires de Sexe

L'auberge (3)

... pas d’auberge, tu vas voir si je ne te la trouve pas moi !

Et Pascal de repartir en colère et sur les chapeaux de roues.

Patricia arrive dans une pièce sous les toits. Jacques cède sa place à un homme en costume d’équitation. Sans attendre les présentations, cet homme retourne Patricia, lui enfonce un large et long plug dans son anus. Puis il grimpe sur le dos de sa pouliche et la cravache durement. Soumise, elle avance, fait le tour de la pièce. Lui ne cesse de cravacher ce cul plus ou moins fort. Il bande, sa queue est sortie.

N’en pouvant plus, Pascale s’est rendu à la gendarmerie. Il exige de voir le chef de poste. Un adjudant vient s’assoir derrière son bureau et demande :

— Pourquoi ces cris ?

— Je cherche l’auberge dans laquelle j’ai passé la nuit avec mon amie.

— Une auberge dans la région ? Je serais au courant s’il en existait au moins une. À part la petite pension, pas un hôtel, pas une auberge à moins de cinquante kilomètres, mon ami.

— Je veux voir celui qui commande et sur le champ. Ce n’est pas possible qu’une auberge disparaisse comme ça, du jour au lendemain.

— D’accord, mais calmez-vous s’il vous plait ! Je vais appeler notre commissaire. Allo… ici la gendarmerie, adjudant-chef Cruchot. Je voudrais parler au commissaire Juve, s’il vous plait.

À l’auberge, dans la pièce sous les toits, Jacques arrive, tenant un téléphone à la main.

— Commissaire Juve, on vous demande au téléphone.

— Jamais tranquille même quand on monte une ...

... si belle pouliche… oui allo, Juve à l’appareil. Qu’est-ce qui se passe ?

— Mes respects commissaire Juve, adjudant-chef Cruchot. On a un individu qui recherche une auberge dans laquelle il aurait soi-disant dormi en compagnie d’une certaine demoiselle Patricia. Il me déclare même avoir dormi dans la chambre 204. Que dois-je faire ?

— Vous savez que j’ai une sainte horreur d’être dérangé quand je suis occupé sur une affaire délicate. Bon bon, ça va ! À propos, lui avez-vous dit qu’il n’y avait rien que la pension ?

— Bien entendu commissaire et, à l’entendre, je ne suis pas le seul. Il nous a déclaré être tombé en panne le long de la rivière, il y a de ça deux jours. Mais il n’arrive pas à nous dire laquelle. Vous savez quand il y a eu cette pluie diluvienne.

— Oui, oui, passez-moi ce genre de détail… au fait, au fait Cruchot !

— Bien commissaire ! Ils ont trouvé l’auberge, y ont dormi et le lendemain, il a fait dépanner sa voiture jusque chez le père Marcel. Il n’a pas pu la réparer, du coup le client est allé dormir à la pension. Ce matin, sa voiture réparée, il prétend que ça fait plus de quatre heures qu’il cherche cette auberge. Je fais quoi moi ?

— Il est visiblement très fatigué. Appelez l’asile, qu’on l’y envoie prendre du repos. Mais vous me faites ça tout en douceur, n’est-ce pas !

— C’est très clair, commissaire. Je fais le nécessaire immédiatement.

Sous les toits, dans cette pièce, Pascaline est prise par son cavalier. Elle sent cette bonne ...