L'auberge (3) - Histoires de Sexe

L'auberge (3)

... en grimaçant. Cela fait rire Jacques. Il vient devant Étienne, lui pose sa bite devant sa bouche et urine sans autre. Étienne avale tout ce qu’il peut, étalant ce qui coule à côté sur son corps et bande qui plus est. Patricia, d’abord interdite, tente d’imiter de soumis. Une main sur sa chatte, elle goute à cette pisse et commence à y prendre gout. Si une main branle sa chatte, l’autre étale cette urine sur ses seins.

— Mais que voilà une bien adorable chienne. Étienne, tu vas avoir une compagne. Va mon gros pépère, va lécher son fion !

Étienne se glisse sous Patricia, sur le dos, son corps dans les excréments et lèche ce cul bien sale, bandant comme un cerf. Cette langue dans son cul, Patricia sent qu’elle va jouir et très vite. Aussi, elle s’agrippe aux jambes de sa Maîtresse, la supplie du visage et jouit en se laissant tomber sur le visage d’Étienne, sans plus aucune force. Agate se penche sur le visage de Patricia, l’embrasse et se relève pour entendre son époux lui dire :

— Je crois bien qu’avec elle, on a déniché notre perle rare.

— Oui mon amour. Dis, tu crois que son petit ami va retrouver le chemin ?

— Vu comme c’est parti, aucune chance.

Si Patricia a tout entendu, elle ne bronche pas. C’est comme si elle l’avait déjà oublié, se sentant plus à sa place entre ce couple pervers.

Emmenée à l’intérieur, Jacques l’entraine sous la douche. Dans un geste, elle l’attire à elle. Devant l’imposante stature de l’homme, elle s’agenouille et vient ...

... délicatement lécher couilles et queue.

— Toi, je devine déjà que tu ne veux plus nous quitter. Je me trompe ?

— Non Maître, je me sens nettement mieux avec vous deux comme mes Maîtres.

— C’est très bien parce que tu n’as vu que ce que nous avons bien voulu te montrer, il y a encore toutes nos pièces spéciales et nos amis. Maintenant finis de me laver, de te laver et vas dormir.

— Bien monsieur !

Plus tard, dans la chambre 204, Patricia découvre une belle paire de menotte. Elle la glisse derrière un barreau, menotte ses poignets et laisse tout son corps s’apaiser. Fatiguée, menottée, elle s’endort rapidement. En sa tête, de merveilleux rêves font leur apparitions. Jaques est au téléphone :

— Oui mon cher commissaire, comme je vous le dis, une véritable pouliche bien docile de tout juste vingt et un ans.

— Je passerai demain dans ce cas. Réservez-moi la pièce sous les toits.

— Vous allez l’adorer. Dites, nous avons tout de même un léger souci. Il s’agit de son petit ami. Il se prénomme Pascal. Je crois même qu’il fait réparer sa voiture chez le père Marcel.

— Oh lui, ne vous en faites pas. Considérez qu’il est déjà perdu. Je l’ai vu chez Marcel, il était en train de vous téléphoner. Marcel sait quoi faire dans ce genre de cas.

— Alors plus aucune inquiétude. À demain donc, commissaire Juve.

À des kilomètres de l’auberge, Pascal s’éveille. À peine debout et habillé, qu’il file chez ce garagiste local.

— À vous, on peut dire que vous avez un bol de ...