Devenir la plus salope des salopes (5) - Histoires de Sexe

Devenir la plus salope des salopes (5)

... langue, mais surtout autour de la bouche et sur mes joues.

Celui que je suçais jusqu’ici me relève sans ménagement par les cheveux, et m’agrippant, me baise à son tour violemment. Je vois mon téléphone, posé sur la banquette, avec une notification de message. C’est papa, il me dit « qu’est-ce que tu fous ? Ta mère et ta sœur sont parties voir un film, j’ai envie de t’utiliser ! ». J’attrape le téléphone, et me filme en mode selfie quelques secondes : on ne voit pas mon baiseur, mais on voit que j’ai le visage plein de sperme et que celui-ci sautille et ondule à un rythme saccadé. Je vois sur le téléphone un lourd filet se détacher. Je le rattrape in extremis avec ma seconde main, le mets dans ma bouche et le savoure. Pas de gâchis ! Je coupe la vidéo et l’envoie à mon père.

Une dizaine de secondes après, l’écran s’allume à nouveau : « Fier de toi ma puce. Mais rentre vite quand même, faut que je te baise. »

Justement, le deuxième gars a bientôt fini : il m’agrippe par les hanches et pousse à fond. Puis se décharge en moi par salves.

Il se retire, alors je procède à un nettoyage. J’attrape le sperme qui coule de ma chatte avec ma main, puis la lèche avec délectation. Il est encore chaud et mélangé avec ma mouille. Je me nettoie de la même façon le visage sous le regard médusé du second conducteur. Le premier est déjà parti.

La radio grésille.

— Ici central, le bus a un retard au démarrage ? Qu’est-ce qu’il se passe ?

Le conducteur remonte rapidement ...

... son pantalon puis fonce à son poste. Il prend la radio « Désolé, petit contretemps, je pars ».

Aussitôt, il démarre.

Mais ! Je suis à poil dans le bus, je n’ai plus de vêtements, et le gars démarre ! Je mets tant bien que mal mes lambeaux de chemisiers. Celui-ci ne ferme plus et mon soutif est HS. Mon chemisier cache mes tétons, mais laisse voir tout mon ventre et l’intérieur de mes seins, comme si j’avais un décolleté géant. Sexy. Plus moyen de retrouver ma culotte, le premier gars a dû le reprendre. Heureusement, j’ai encore ma jupe en état, je la remets.

Quelques stations plus tard et pas mal de coups d’œil jetés à mon décolleté improvisé par certains de mes compagnons de route, je sors du bus par la porte avant, en lançant : « merci beaucoup Monsieur ! » au chauffeur, qui me regarde avec un air lubrique.

J’arrive chez moi.

Papa est à son bureau, concentré sur son ordinateur.

— Coucou papa ! dis-je. Je suis loin, très loin d’être rassasiée.

Il me fait signe de me taire, et me désigne son écran : il est en pleine conversation Skype. Il a une oreillette, du coup je n’entends pas ce que l’autre dit.

Il se reconcentre sur l’ordinateur, mais sort sa bite de son pantalon. Je m’avance à quatre pattes, passe sous le bureau, et le pompe.

Il parle enfin : « oui, d’après les premières mesures, l’efficacité s’atténue grandement avec la distance à l’émetteur, c’est un problème qu’il va falloir régler »

Silence seulement interrompu que par mes bruits de ...