Devenir la plus salope des salopes (5) - Histoires de Sexe

Devenir la plus salope des salopes (5)

... de mon cou, qu’il serre doucement, pas pour me faire mal, mais me signifier que bien qu’il me fasse du bien, c’est lui le boss. J’aime ça.

Au bout d’un temps, il me relève dans le couloir, me tourne dos à lui et me fait pencher en avant. J’agrippe les barres du bus, des deux côtés du couloir. Il cherche l’entrée de ma chatte avec sa bite, puis pousse. Je gémis. Me prenant par les hanches, il entre en moi profondément, y reste, puis fais quelques allers-retours légers, puis à nouveau profondément... C’est fou. Moi, je profite et je cambre pour bien faire ressortir mes fesses et mes seins, qui rebondissent à chaque coup de boutoir. Je me sens bien avec cette bite d’inconnu qui m’emplit. La seule chose qui manquerait serait une ou deux autres bites pour finir de boucher tous mes trous.

Justement par la fenêtre, je vois un autre chauffeur passer dans le hangar technique. Il ne nous a pas encore vus, mais marche vers l’avant du bus.

Je me mets à gémir fort de plaisir, pour qu’il nous entende. Celui qui est en moi met ses mains sur ma bouche, mais trop tard : l’autre gars a tourné la tête, nous a vus, et rentre dans le bus par la porte avant. Il s’arrête devant le spectacle. Mon pilonneur n’arrête pas son œuvre, au contraire, il redouble d’efforts, et je gémis d’autant plus, tout en regardant le nouveau dans les yeux, avec envie.

Il s’approche, mes yeux s’accrochent à son entrejambe.

Il dit : « Ben... Qu’est-ce que... ? »

Une voix dans mon dos répond : « c’est ...

... ton jour de chance mec ! J’ai trouvé cette superbe salope dans le bus ! Vas-y, quand y en a pour un, y en a pour deux ! »

Tout en ayant la bouche ouverte, je me penche un peu, comme une invitation à entrer... Et une invitation, ça ne se refuse pas.

Il hésite, mais je vois son entrejambe se déformer à toute vitesse. Il m’appartient.

Il met sa main sur mon visage, parcourt mes lèvres de son pouce, puis le met à l’intérieur de ma bouche. Je le suce, évidemment. Il ne se décide pas à continuer, alors, provocante, je dis « vous n’auriez pas quelque chose de... plus gros ? ».

Il ne lui en faut pas plus, en deux temps trois mouvements, il sort sa bite et me la met dans la bouche. Je suce avec plaisir. Une bite dans la chatte et l’autre dans la bouche, c’est la première fois que ça m’arrive. Ce n’est pas si évident que ça, car le type de derrière me chahute pas mal, c’est dur de garder le rythme et de bien sucer comme il faut. Au bout d’un moment, je décide de ne pas essayer de me stabiliser ma tête au niveau de la queue du nouveau, mais de me laisser aller avec les coups de l’autre, qui me font la prendre à des degrés divers de profondeur dans ma gorge.

A un moment, le type de derrière dit : « vas-y, prête-moi son visage ! Il est fait pour y accueillir du sperme ». L’autre s’enlève de ma bouche. « Tourne-toi, sac à foutre ! »

Je me tourne, m’agenouille, et tire la langue, prête à recevoir le bon sperme. Celui-ci arrive en jet crémeux sur mon visage, un peu sur ma ...