Devenir la plus salope des salopes (5) - Histoires de Sexe

Devenir la plus salope des salopes (5)

Le mois précédent avait été un peu moins excitant que prévu.

Papa avait été beaucoup absent, pris par des voyages professionnels incessants. Et le peu de fois où il était présent, la présence de maman et d’Alice rendait les choses un peu compliquées.

Ma consommation de porno avait encore explosé, si c’était possible.

Une fois, n’arrivant pas à dormir à force de penser au cul toute la nuit et n’y tenant plus, je suis allée prendre le risque d’aller dans la chambre parentale à trois heures du matin, de soulever délicatement le drap et de pomper mon père. Il se réveilla et j’ai continué tranquillement, sans faire de bruit. Il se déversa dans ma bouche et je suis retournée me coucher tranquillement.

C’était comme s’il ne prenait pas vraiment l’ascendant alors qu’il avait commencé à clairement me dominer. Curieux. Et frustrant !

C’est début avril qu’exceptionnellement, papa est venu me conduire au lycée un matin. Ça faisait une semaine qu’il était parti et n’était revenu que la veille au soir, et je n’avais pas eu le temps d’échanger avec lui.

Une fois seuls dans la voiture, je reste en attente de ce qui allait se passer.

Tout en démarrant, il me regarda, interloqué.

— Eh bien, rends-toi utile !

Je me penche sur sa braguette, sort son sexe et commence à faire ce pour quoi je commence à être sacrément douée.

— Vas-y ma fille... Bon alors, tu dois commencer à être une sacrée pute, non ? Combien de fois tu t’es fait sauter au lycée la semaine ...

... dernière ?

Je reste silencieuse, continuant à sucer. Au lycée, je n’avais pas passé le pas. C’est curieux, mais le fait d’être dans un environnement complètement différent, je n’arrivais pas à me projeter en totale salope là-bas. J’étais plutôt connue des profs et de mes camarades comme une fille travailleuse, j’avais quelques amis, et ils ne me voyaient pas comme une traînée. Ça me faisait garder un pied dans cette réalité-là également. J’avais beau me rappeler ce que je voulais, je n’avais pas été si pressée que ça de transformer l’essai.

Il me tire par les cheveux pour sortir sa bite de ma bouche, pour que je puisse parler. A regret, je lui avoue la vérité.

Il a l’air déçu. Il ne dit rien et je recommence à sucer jusqu’à recevoir ma récompense, que je garde en bouche jusqu’à la fin du trajet. Tentant de me rattraper et de redorer mon blason, avant de sortir, je lui montre le contenu de ma bouche et je joue avec son sperme avant de tout avaler et de montrer à quel point je suis une bonne fille.

Son air déçu ne change pas. Je sors de la voiture, je sais que je dois me rattraper. Mais comment ?

Toute la matinée, je n’ai à peu près rien suivi en cours, tellement j’étais désemparée. Etrange, mais le lycée était le domaine de light Emi, la studieuse. J’étais complètement différente ici et n’arrivais pas à envisager comment passer à l’action. J’avais peur des conséquences à long terme.

Ça faisait deux heures que je rêvasse en cours d’histoire sans trouver de solution. Mon ...