1. Celle qui m'initia


    Datte: 03/01/2022, Catégories: fh, fplusag, extracon, inconnu, hépilé, fépilée, telnet, hsoumis, fdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, init, initiat, Auteur: Vampa, Source: Revebebe

    ... encore une fois, son magnifique sourire au visage.
    
    — Tu as aimé, visiblement…
    — Oui, c’était divin. Merci.
    
    J’avais l’impression d’être son étudiant.
    
    — Maintenant, on passe aux choses sérieuses ?
    
    Elle s’allongea sur le dos, à côté de moi. Je crus avoir compris le message. Je sortis un préservatif de la table de nuit, l’enfilai non sans mal, tout tremblant que j’étais.
    
    Elle avait écarté ses jambes. Son sexe m’était offert. Je me dirigeai vers elle, butai contre son sexe, ne sachant où aller. D’une main experte, elle me guida. Je sentis l’entrée se détendre, s’ouvrir, et m’aspirer. J’étais dedans, c’était brûlant.
    
    — Alors, c’est comment ? fit-elle en riant.
    
    Je ne pus m’empêcher de rire.
    
    — Pas mal. Ça donne envie de rester.
    
    Je commençai des va-et-vient mal coordonnés. Je l’embrassais en même temps. Cette sensation nouvelle me transporta. Mais je fatiguais.
    
    — Attends, on va changer, me dit-elle.
    
    Elle se mit à quatre pattes, me présenta ses fesses.
    
    — Pas de sodomie, hein ! Tu me prends en levrette. ...
    ... Allez, viens.
    
    J’étais à genoux derrière elle. Ses magnifiques fesses en main. Je me laissai guider vers son antre et repris les allers-retours. Mais j’étais à sec.
    
    On s’arrêta et on s’allongea côte à côte.
    
    — Tu t’es branlé aujourd’hui ? me demanda-t-elle.
    
    Je suis obligé de répondre par l’affirmative.
    
    — J’avais peur de jouir trop vite.
    — Guapo. T’en fais pas. C’était déjà très bien comme ça.
    
    Je fis glisser ma main sur elle.
    
    — Oui, tu peux me caresser encore, voilà, comme ça.
    
    Elle me guida, mais je ne savais pas si mes caresses la faisaient vraiment jouir. J’eus l’impression de ne pas avoir assuré, mais elle n’en laissa rien paraître. On s’enlaça, s’embrassa, puis il fut l’heure pour elle de repartir.
    
    Elle se rhabilla sous mon regard énamouré. M’embrassa une dernière fois. Puis, sur le palier de la porte, me glissa :
    
    — À une prochaine fois…
    
    Ce soir-là, j’eus du mal à m’endormir. Je me branlais jusqu’à en avoir mal au poignet, jouis, et repensais à ce qui venait de se passer, repensais à elle, Anabell. 
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