Givrée - Histoires de Sexe

Givrée

... comédie ? Remarquez, je ne m’ennuie pas, mais c’est comme avoir faim et n’avoir que le droit de regarder le menu, ça finit par agacer. Je m’approche donc doucement, tendant bien les lèvres pour éviter tout contact avec ma pilosité.

— Hum… Charmant et délicieux. Elle adore. Encore !

Je recommence, deux ou trois fois, de façon un peu plus appuyée, sans déclencher de protestation. Je m’enhardis donc et lance le bout de ma langue au contact de la muqueuse. Double surprise : d’abord le goût, sucré et anisé, étonnant ; ensuite un coup de jumelles sur la tête et l’admonestation.

— Holà ! Mais que faites-vous ? Avez-vous seulement demandé la permission ? Sachez que vous ne devez rien tenter sans que je vous en accorde le droit. Plus jamais de privautés de ce genre sinon vous n’approcherez jamais plus de ce bijou.
— Désolé, ce fut un élan naturel, guidé par un tel parfum, un tel goût…
— Je comprends, mais ça n’est pas une raison. Contrôlez-vous mon cher. Ma chatte adore les sucres d’orge et je lui en donne souvent à sucer. C’est cela qui lui donne bon goût. Maintenant, vous n’avez pas été désagréable, tout au plus surprenant. Et elle a aimé. Donc vous pouvez recommencer à lui confier votre langue, délicatement bien sûr…

Je lèche donc, déclenchant de beaux écoulements, acidulés par le bonbon. Je lape, je fouille, j’agite, je varie la forme, pointue, large et plate, gonflée… La grotte rose est maintenant largement ouverte et palpite sous mes coups de langue, sa maîtresse ...

... ronronne, tout va bien. Mais pendant ce temps-là, je bande comme un bourricot et rien ne semble se profiler en termes de soulagement. Malgré tout, je demande poliment :

— Puis-je élargir un peu le champ d’action de ma langue ?
— C’est à dire, précisez ?
— Eh bien… du petit capuchon à la petite rosette…
— Écartez-vous un instant et montrez sans toucher (elle ajuste ses jumelles)…
— De là… à là.
— … Elle veut bien, essayez.

J’y replonge, lutinant délicatement le petit capuchon dont l’occupant se dilate, puis je file titiller la petite rondelle plissée non sans être passé constater que la production de cyprine devient constante. Cette fois, des contractions agitent le secteur. L’anus et le vagin palpitent en chœur, et je perçois également contre mes joues quelques vibrations dans les cuisses.

— Oh oui, elle aime, râle la propriétaire dans un souffle. Vous le faites bien, continuez…

Ben tiens, ma salope, t’es foutue de partir à dame et de me laisser la bite sous le bras. De crescendo en crescendo, maintenant j’y vais franco, aspirant doucement le clito entre mes lèvres pour mieux le pincer et le fouetter de ma langue, pénétrant autant que possible la grotte chaude et humide, tentant également quelques poussées de la pointe sur la petite rondelle fripée. Je quémande à nouveau :

— J’aurais également besoin de quelques doigts pour enrichir mes caresses…
— Oui, faites, faites…

La réponse fut immédiate et j’y perçus quelque impatience. Deux doigts en demi-cercle ...