1. Une vie pas comme les autres (7)


    Datte: 31/12/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... qui, elle aussi, les regarde.
    
    — Tu mates la chair fraîche.
    
    — Je dois dire que ces merveilleuses jeunes filles ne me laissent pas indifférentes, souviens-toi qu’à la base, je suis lesbienne.
    
    — Elles sont appétissantes ces deux minettes.
    
    — Ces trois minettes.
    
    — Ah bon, même Manon ?
    
    — Tu ne la trouve pas attirante ?
    
    — Je dois dire que sans être lesbienne, je suis comme toi, pour les trois. Ça va se terminer en orgie, je te le dis.
    
    — J’aime la culture romaine.
    
    Nous rigolons, mais nous savons toutes les deux que l’ambiance va vite tourner au sexe. Nous mettons la table sur notre dernière acquisition, une table en verre avec un piétement en inox poli, une vraie merveille, ne parlons pas du prix, il est assez indécent. Les filles se mettent en face de nous, aucune ne serre ses cuisses, nous avons trois magnifiques vulves luisantes devant nos yeux. Elles ont deux magnifiques vulves luisantes devant leurs yeux. Le repas se passe très bien, tout le monde est heureux, nous voyons de temps en temps une des mains des filles qui s’égare sur le pubis de l’autre, pour une caresse, ou carrément enfoncer un doigt dans la vulve et le sucer après. Elles ne se gênent pas, je suis au bord de craquer.
    
    — Et puis merde.
    
    Je me lève, prends la main de Sophie, l’entraîne vers le canapé et l’allonge pour me coucher sur elle, tête-bêche. Nos langues s’activent sur le sexe de l’autre, elle est comme moi, au bord de l’orgasme. Soudain, je sens trois mains sur mes fesses, ...
    ... trois autres se glissent sur le corps de Sophie. Les filles nous caressent. Je réalise que dans ses mains, une au moins appartient à ma fille. Ma fille me caresse, j’explose.
    
    — AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH, oh oui, oui, AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHH.
    
    Sophie me suit assez rapidement, elle me secoue comme un prunier. Quand nous revenons à la réalité, je suis toujours sur Sophie, il ne reste plus que deux mains qui me caressent. Je tourne la tête pour voir Enno et Luce s’embrasser à côté de nous. Les mains sur ma peau sont celles de ma fille.
    
    — Maman, tu as la peau très douce, j’adore.
    
    — Chérie, que fais-tu ?
    
    — Ce que j’ai envie de faire depuis des années, caresser la peau de ma maman que j’aime, et c’est pareil pour ma tata que j’aime.
    
    Je me redresse et me lève, Manon empêche Sophie de se redresser et commence à la caresser sur tout le corps. Sophie ne bouge pas, elle se laisse faire, sa main passe des seins au ventre, pubis, cuisses, mollets, même les pieds, elles remontent sur les jambes, instinctivement Sophie les ouvre, Manon se positionne entre elle et pose sa bouche sur son sexe. Sophie est secouée par une violente décharge électrique, elle ouvre la bouche comme pour reprendre sa respiration. Elle monte son bassin pour offrir encore plus son sexe à Manon. Celle-ci glisse ses mains sous ses fesses pour accentuer la pression de sa bouche.
    
    — Oh oui ma chérie, oui, oui, oh tu vas me faire jouir, oui, oui, encore, ta langue, ta langue, ...
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