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Ghislaine Exhibitionniste
Datte: 30/12/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds
... Entre ce que tu as vu et ce que tu as dans la poche, tu as de quoi égayer ta prochaine branlette. Tu ne crois pas ? Je m’étais gardé de n rien dire. Elle descendit les escaliers, un sourire moqueur aux lèvres. Je n’avais pas tardé d’aller rejoindre ma garçonnière. Je me haïssais parce que je savais que j’allais faire ce qu’elle avait exigé de moi. J’avais d’abord décidé de me retenir. C’était difficile. J’avais comme des fourmis sur la queue. L’image de son sexe tournait en boucle dans mon esprit. J’avais songé que lorsque j’en aurai vu des dizaine, ce serait différent. Je savais pertinemment qu’elle ne me donnerait jamais l’accès de son corps. Me jugeant trop jeune. Comme l’avais juger Christiane avant de tomber dans mes mailles. Elle ne ferait jamais que de m’allumer. Ne serait-ce que pour ne pas risquer des ennuis avec ma mère. Après tout, elle était mère isolé. Je n’avais pas tout perdu. N’avais-je pas sa petite culotte dans ma poche. Je me faisais un plaisir de la sortir de sa cachette et de l’humer à plein poumons avant de l’envoyer avec les autres. Dans ma petite collection personnelle. C’était sans doute ce raisonnement ...
... qui m’avait conduit à éprouver autant de passion pour les sous-vêtements féminin. Les femmes étaient imprévisibles et se dérobaient quand cela devenait trop chaud. Pas les culottes. Au moins, on tenait quelque chose avec elles. J’avais scruté sa petite lingerie sous toutes les coutures. Allongé sur mon sommier en maille. La face extérieure était brillante. Pas l’intérieur. Là où la culotte avait collé l’entrejambe. Il y avait des trainées encore humides. Et à côté, des marques plus sèches. Dont une espèce d’auréole blanche. J’avais reniflé l’empiècement. L’odeur de pisse se mélangeait à celle beaucoup plus âcre, plus envoûtante des sécrétions vaginales. Ghislaine devint alors évidement le centre de mes rêveries érotique et nocturnes. Ce qui eut pour effet, chez moi de produire dans mon lit quelques cartes de France des plus généreuses. Et puis un soir, en revenant du lycée, ma mère me lança, innocemment : - Ghislaine voudrait que tu te rendes jusqu’à chez elle. - Tu sais pourquoi ? Répondais-je en sentant le sang se glacer dans tout mon corps. - Une bouteille de gaz m’a-t-elle dit. Le gaz avait bon dos ! Pensais-je.