1. Ghislaine Exhibitionniste


    Datte: 30/12/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Je passais des heures et des heures en compagnie du livre Rapport Hite offert gracieusement par ma chère Christiane. Il était très intéressant et explicite pour un nier comme moi sur le plan sexuel. La rapport masturbation m’avait étonné. Étant loin de m’imaginer qu’une femme pour elle aussi se donner du plaisir avec ses doigts était enrichissant. Tout y était défini. La technique, le pour, le pourquoi. Je ne me fatiguais pas de tourner les pages et de lire les nombreux chapitres, pour en faire savoir plus encore sur le corps féminin, avec la ferme intention de leur donner beaucoup, beaucoup de plaisir.
    
    Comme j’aimerais lui en donner à Ghislaine, la mère de la petite Aline, que ma mère gardait. Les mots « garce et salope » s’imposaient naturellement quand je pensais à elle. Ce que je ne permettrais pas à dire à d’aucune autre femme. Et en même temps, j’avais plutôt de l’admiration pour elle. Elle avait une manière inégalée de jouer avec les gens sans y toucher. Sans aucun doute, à l’époque, elle m’avait ébloui. Et je me rends compte aujourd’hui qu’il y avait en elle quelque chose d’artificiel.
    
    Elle possédait un corps bien charpenté. Des cheveux châtain clair, un visage aux traits délicats. Bref pour un ado comme je l’étais alors, elle avait tout d’une vamp dévoreuse de minet.
    
    Elle m’avait accroché dès notre première rencontre, alors que ma mère la recevait dans le salon. Elle était assise autour de la table, moi assis en face d’elle sur le fauteuil. Donc plus bas. ...
    ... Qu’elle plaisir quand elle décroisait les jambes. Le mouvement était sans doute volontaire. Sa jupe courte c’était remontée dévoilant non seulement ses cuisses rondes mais aussi une partie de sa culotte de couleur bleue. Comme si cela ne suffisait pas, elle avait écarté les genoux et la scène s’était alors gravée à tout jamais dans mes souvenirs, faisant des malheurs lors de mes masturbations. Aujourd’hui encore, je pourrais la dessiner de mémoire.
    
    Le tissu satiné du slip collait à sa vulve, et c’était aussi obscène que si elle avait été nue. Les moindres détails m’avaient sauté aux yeux. Le creux de la fente, les lèvres épaisses, l’ombre de la toison.
    
    Mais ce jour-là, j’en avais pris plein les mirettes. Et pendant que je me rinçais l’œil, Ghislaine bavardait comme si de rien n’était avec ma mère. Elle s’exhibait, naturellement, mais je ne savais pas si elle s’était rendu compte alors qu’elle m’avait marqué l’esprit à tout jamais.
    
    Elle m’avait asséné le coup de grâce en portant sa main à son entrejambe, parfaite imitation du geste qu’on exécute sans y penser alors que, comme je devais l’apprendre par la suite, elle calculait le moindre de ses mouvements. Elle avait d’une main sûre repoussé un bord de sa culotte loin de son aine, se grattant pendant quelques secondes. Une partie de sa culotte s’était enfoncée plus profondément dans la fente de son sexe et une lèvre était apparue. Ensuite, elle avait resserré les cuisses. Fin du show. Enfin ! Pour ce jour là, la suite ...
«1234»