1. Ghislaine Exhibitionniste


    Datte: 30/12/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... des rouges, des jaunes, des verts. Jamais de blanc. Souvent en satin et en dentelle. J’avais établie une sorte de distance entre le désir auquel je laissais cours en moi, et l’observation quasi amusée de son comportement. J’en étais arrivé de pouvoir prédire, juste par intuition, quand elle allait desserrer ses cuisses et offrir son ventre à mes rétines. Elle aimait bien croiser haut les jambes. Pour mon plus grand plaisir.
    
    Une fois, en se levant, elle avait laissé tomber son sac à main de l’autre côté du canapé. J’avais aussitôt eu la certitude qu’elle l’avait fait exprès. Quand elle s’était pliée en deux, le ventre posé sur le dossier du canapé, cela avait été un spectacle à la fois excitant et comique à la fois. Parce que trop poussé. La jupe de Ghislaine s’était en-tirebouchonnée à ses hanches. Dévoilant sa croupe généreuse, que contenait un slip minuscule qui couvrait à peine un tiers de ses fesses. Il rentrait autant dans sa raie du cul qu’entre les lèvres de son sexe. Ma mère avait pour une fois compris la situation. Elle avait eu un réflexe de pudeur. Celui de rajuster Ghislaine pour masquer ce que l’adolescent que j’étais ne devais pas voir.
    
    Un autre jour, Ghislaine avait reversé le contenu de sa tasse de thé sur le parquet et pour un fois, je pensais qu’elle ne l’avait pas fait exprès. Ma mère avait accouru pour chercher de quoi l’essuyer.
    
    Dès qu’elle était sortie de la salle de séjour, Ghislaine avait profité de l’occasion pour retrousser sa jupe et ...
    ... s’était cambré. Les fesse décollées de son siège. Elle avait fait glissé sa culotte fuchsia le long de ses jambes. Cela avait été tellement rapide que je n’avais pas eu le temps d’apercevoir grand-chose de son sexe. Juste une toison sombre. Très fournie autant que celle que possédé ma tante avant que je lui épile. Elle m’avait expédié la culotte à travers la pièce. Avec un sourire où se mêlaient l’ironie et le mépris, elle avait soupiré :
    
    - Tu vas te régaler. J’ai été pissé en arrivant. Et j’ai pris la peine de ne pas m’essuyer. Tu vois le genre ?
    
    Elle s’était assise et j’avais enfourner la petite lingerie dans ma poche. Juste avant que ma mère nous rejoigne. Heureusement, comme elle était absorbée dans le nettoyage du sol, qu’elle ne s’était douté de rien.
    
    Ce n’était pas fini. Ghislaine était à présent cul nu sous sa jupe. Et elle ne s’était pas privé de m’exhiber sa chatte. Des laps de temps, mais assez pour me rendre malade d’excitation. Au centre de sa toison, il y avait les lèvres de sa fente. Le double bourrelet épais. Et des nymphes saillantes d’un rose délicat.
    
    J’étais cependant resté lucide. Je savais pertinemment qu’elle ne s’offrait pas. C’était simplement un jeu pour elle que de m’allumer. Le plaisir que ça lui procurait était certainement plus fort que celui qu’elle aurait éprouvé en faisant l’amour. Comme le disait le Rapport Hite. Elle était cruelle et perverse. Avant de partir, alors que ma mère s’était éclipsée, elle m’avait glissé à voix basse :
    
    - ...