1. Occupation et conséquences


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fhh, humilié(e), chantage, Oral double, Partouze / Groupe historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... s’inquiète de savoir si quelqu’un l’a vue. Audrey n’en sait rien, comme son mari est mort en civil, il est évident que les vêtements ne sont pas venus tout seuls. Patricia demande :
    
    — A-t-il de l’argent sur lui ?
    — Je ne sais pas, probablement. Pourquoi ?
    — S’il a les poches vidées, la mort peut être attribuée à un voleur. Il faut y aller. C’est nous qui le découvrirons.
    — Mais, si nous y allons, on va savoir que je savais où il était.
    — Bien sûr que tu savais puisque tu lui as apporté des vêtements civils. C’est en ne le voyant pas revenir que tu t’es inquiétée. Allez, debout ! Une fois que l’on aura trouvé le corps, tu iras prévenir le shérif et moi mon mari.
    
    Patricia entraîne une Audrey un peu rassérénée.
    
    Quand elles arrivent à destination, visiblement personne n’a encore découvert le cadavre. Les deux femmes retournent les poches du mort. Il n’y a rien dans celles des vêtements civils, le capitaine n’a pas eu le temps de les remplir, par contre elles trouvent une bourse et une montre dans celles de l’uniforme. Il faut faire disparaître cette dernière, suggère la femme du commandant. La conserver pourrait être dangereux, le capitaine ne la quittant jamais, tant il en était fier. Elle s’en chargera en allant avertir son mari. Qu’Audrey garde les pièces, mais laisse la bourse sur place. Cela fait, chacune se dirige l’une vers les entrepôts où est consignée la garnison et l’autre vers le poste du shérif.
    
    La comtesse de Swordfish, ne pouvant accéder directement ...
    ... à son mari, demande d’abord à s’entretenir avec Monsieur de La Tiémont pour obtenir l’autorisation. À dire vrai, elle aurait pu s’adresser à l’officier de garde, cela aurait été plus rapide, mais a préféré voir le commandant, subodorant que la nouvelle du décès du capitaine serait susceptible de l’intéresser. Quand elle lui explique les raisons de sa venue, celui-ci ne laisse rien transparaître, hors une légère fébrilité. Il fait chercher le comte auquel sa femme répète la nouvelle. Le commandant Canfrais invite son homologue à l’accompagner sur les lieux. Tous deux, accompagnés d’une demi-douzaine de soldats suivant Patricia.
    
    Quand ils arrivent, le shérif est déjà sur place. La venue du Canfrais ne le ravit pas. Il n’a pas oublié l’intervention de la veille, lors de la mort de madame Radcliff et de son homme de confiance. Cette fois Monsieur de La Tiémont n’intervient pas. Il laisse le comte et le policier discuter. La version des deux femmes n’est à aucun moment mise en doute. Le shérif promet de faire des recherches Tout le monde se disperse ensuite. Le shérif retourne à ses occupations. En passant il avertit le notaire où le capitane a déposé son testament. Les dames reprennent le chemin de leurs domiciles escortés par deux soldats Canfrais de Monsieur de La Tiémont. Ce dernier s’en retourne avec le comte de Swordfish. Durant le trajet, ils discutent de la mort du capitaine. Tous deux trouvent étrange, non la mort en elle-même, mais ce qu’a pu faire le militaire avant ...
«1234...23»