Occupation et conséquences
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
fhh,
humilié(e),
chantage,
Oral
double,
Partouze / Groupe
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... longtemps pour que pour la seconde fois l’homme ne décharge entre ses seins et sur ses lèvres. Il n’est nul besoin au sergent de l’inciter à persévérer dans son pompier.
Elle poursuit avec entrain. Comme ci-devant une fois son vit revenu au garde-à-vous, il change de poste avec le soldat. Celui-ci tient toujours la distance. Patricia s’affaire de la main, de la langue et des lèvres avec beaucoup de zèle pourtant. Il se passe du temps avant qu’à son tour il n’éjacule. Dans ce domaine aussi il est au-dessus de la normale. Elle a l’impression que le flot est intarissable. Quand cela cesse enfin, son visage et ses cheveux dégoulinent de sperme et pourtant elle en a avalé une bonne ration. Elle en est si étonnée qu’elle en reste pantoise quelques secondes. Le soldat lui administre quelques coups de queue sur la bouche pour la ramener à son ouvrage.
Elle a à peine achevé de le remettre en forme que le sergent, qui honore son engagement d’éviter la mettre en cloque, arrive pour se soulager dans sa bouche. Le flot paraît bien modeste après le déluge précédent, surtout que c’est la troisième fois qu’il se vide. Patricia entreprend de lui redonner de l’allant. Cela s’avère plus laborieux qu’auparavant, elle doit mettre moult énergie à arriver à un effet consistant. Sitôt celui-ci obtenu, les deux soldats intervertissent derechef leur place. Le sous-officier, au bout d’un bon quart d’heure arrive une fois de plus à bout de résistance et vient une fois de plus se vider dans sa ...
... bouche. Cette fois-ci, il commence à montrer des signes certains de fatigue. D’ailleurs lorsqu’elle entreprend de réamorcer la pompe, il déclare forfait en disant :
— Tudieu, cette salope est insatiable. Elle finirait par avoir ma peau. Vas-y soldat, bourre cette garce comme elle le réclame.
Lucien n’avait nul besoin d’encouragement. Pour dire vrai, il se retenait plutôt pour ne pas gêner le travail buccal de Patricia avec le sergent en la brimbalant par trop. Sitôt que ce dernier s’est retiré de la joute, il passe progressivement à la cadence supérieure. Il va de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle finit par être ballottée comme fétu de paille. Onques elle n’a été ramonée ainsi.
Jusque-là, elle gardait un minimum de retenue, montrant qu’elle remplissait sa part de bonne grâce, accordant que ce n’était pas désagréable, mais sous l’assaut sa libido s’envole. Elle ne peut s’empêcher de manifester son contentement à être ainsi niquée, ajustant la cadence de son trémoussement à celle de l’homme et allant au-devant du pieu qui la fouaille. Elle doit se mordre les lèvres pour ne pas piailler à ameuter le quartier quand après un copieux matraquage de son intimité, elle prend son pied. Si cela désunit la houle de ses reins, cela n’altère en rien la cadence de l’homme. Après une poignée de secondes durant lesquelles elle récupère, elle reprend la sarabande. Le sergent encourage :
— Continue soldat ! La catin n’est pas rassasiée. Défonce-la ! Elle ne demande que ça. ...