Toute ma vie j'ai rêvé
Datte: 23/12/2021,
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Inceste / Tabou
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BDSM / Fétichisme
fouetfesse,
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lesbos,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... sucer à genoux, alors qu’elle se tient debout, ses mains derrière ma nuque, pour une cruelle irrumation, de plus en plus loin dans ma gorge, ce qui me donne des haut-le-cœur. Je dois ensuite me mettre à quatre pattes, position humiliante s’il en est – comme une chienne, dit-elle. Je dois lui lécher les rangers. Puis la femme de loi passe derrière moi, m’attrape par les hanches et me sodomise avec sa tige de plastique, dans un mélange de douceur et de fermeté que j’adore, jusqu’à l’orgasme anal. Elle plaque sa main sur ma bouche pour m’empêcher de crier sous le feu roulant de la jouissance qui parfois s’estompe, puis revient force, et semble ne jamais se terminer. Je crois que je vais sombrer dans la folie. Puis elle me retourne, je suis couchée sur le dos, elle s’allonge sur moi et pénètre mon vagin. Le cylindre s’enfonce si loin que l’explosion humide est très rapide, elle irradie tout mon ventre et mes cuisses, là aussi bâillonnée pour ne pas attirer l’attention. Laure insiste, y retourne encore et encore : elle veut m’entraîner jusqu’à l’extase. Mes jambes entourent son corps, mes pieds sur ses reins. Sa main me plaque au sol et m’étrangle. Je suis devenue son jouet sexuel dont elle abuse avec délectation. Mon pauvre cœur va lâcher de sensations trop intenses. Je crois que je vais mourir sous la luxure. Tout ceci est insensé.
Puisque je ne veux pas parler, Laure décide d’employer des moyens encore supérieurs. Il faut dire que je l’y encourage dans un murmure à son ...
... oreille :si vous voulez des aveux, il faudra me torturer plus cruellement que cela. Elle hoche la tête sans répondre, puis m’emmène, toujours entièrement nue et menottée dans le dos, vers un sous-sol aux murs lépreux, en traversant de longs couloirs où se trouve une enfilade interminable de portes ouvertes de bureaux. Il me semble que nous marchons sur des kilomètres et des kilomètres, en nous enfonçant toujours plus profondément. Cette gendarmerie est une immense fourmilière souterraine où chacune vaque à sa tâche dans un bruissement continu de claviers et de conversations. D’autres détenues vont et viennent, toujours menottées et entièrement nues, accompagnées de femmes gendarmes en uniformes. Parfois, nous passons devant une salle d’interrogatoire où les suspectes sont fouettées, suspendues au plafond par les poignets ou les pieds. On entend de loin siffler les lanières de cuir, les cris des suppliciées. J’ai envie de m’arrêter là afin d’y être flagellée, mais Laure m’oblige à marcher encore, nous enfonçant toujours plus profondément dans les strates du pandémonium.
De temps en temps, Laure s’arrête et raconte mon parcours criminel à quelques-unes de ses collègues. Pendant le récit, certaines prennent la liberté de me tripoter, ce qu’elles semblent trouver très drôle. Puis nous reprenons notre marche. Nous arrivons dans une petite salle dont la porte d’entrée porte la pancarte :sévérité maximum. Je ressens un certain orgueil en franchissant le seuil : le pire m’est réservé. ...