1. Offerte (entre fantasme et réalité) (1)


    Datte: 23/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: littleGabrielle, Source: Xstory

    ... autorisé.
    
    — Tu aimes ça ? Lui demande-t-il.
    
    Gab ne répond pas. Une claque sur ses seins répond à son silence.
    
    — Dis-le-lui, à ton copain, que tu aimes ma queue ?
    
    — Oui... Monsieur, bredouille-t-elle, j’aime... votre queue !
    
    Henry se retourne vers Antoine, un sourire de conquérant aux lèvres
    
    — À quatre pattes toi ! Et viens voir ici.
    
    Antoine, penaud et humilié, obéit. Henry prend une voix plus douce.
    
    — Elle est bonne, merci pour le cadeau, je vais en faire quelque chose de ta copine !
    
    Puis s’adressant à elle :
    
    — Dis-lui comment c’était ?
    
    — Bien Monsieur !
    
    — Dis-le mieux que ça !
    
    — Vous m’avez baisée comme un dieu, Monsieur.
    
    Gab est toute rouge. Antoine est devant eux. La vision de la chatte de sa petite amie toujours empalée sur le sexe d’Henry l’excite. Il aimerait rester de marbre, mais il bande.
    
    — A qui appartient ta chatte, ma belle ? Ajoute Henry.
    
    —... A vous... Monsieur ?
    
    — C’est très bien, tu vois Antoine, plus besoin de ta queue ! Mais comme tu as été sage, tu vas avoir une petite gâterie.
    
    Henry, d’un mouvement de bassin, se dégage du vagin de Gab. Il bande toujours. Sa bite est trempée. Du sperme se met à couler en abondance de la fente lisse et béante de la jeune femme.
    
    — Lèche, ...
    ... Antoine, ordonne Henry, nettoie tout ça.
    
    Gab se caresse. Antoine commence par lécher le sperme qui a coulé sur le sexe du maître. La jeune femme écarte les jambes de manière indécente pour offrir son minou ouvert à la bouche de son petit ami. Il nettoie ses cuisses gluantes, puis sa bouche embrasse son sexe d’où la semence chaude continue à s’écouler.
    
    — Avale tout, cocu ! Ajoute Henry en riant.
    
    Antoine boit la chatte de sa petite amie. Sa langue se glisse entre ses lèvres, dans son vagin. Elle a un goût amer, le mélange de sa mouille abondante, de son excitation, et du goût de la queue de son amant, de son sperme qui continue à couler. Elle continue à se caresser et Antoine sent aux crispations de son bassin qu’elle est toujours très excitée. Les mains d’Henry se sont faites plus caressantes. Elles glissent du ventre de la jeune femme à ses seins lui arrachant des cambrements de reins lorsqu’il lui pince les tétons du bout des doigts. Le corps de Gab est comme électrifié par les caresses de l’homme.
    
    — Tu en veux encore, petite salope ? Lui demande-t-il.
    
    — Oui, répond-elle d’un murmure à peine audible.
    
    — Oui qui ?
    
    — Oui Monsieur.
    
    — Oui quoi, dis le fort !
    
    — Oui... je veux être... encore... baisée.
    
    —***** À suivre. 
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