1. Offerte (entre fantasme et réalité) (1)


    Datte: 23/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: littleGabrielle, Source: Xstory

    ... fois-ci.
    
    Il lui caresse longuement la poitrine. Gab a fermé les yeux, sa respiration s’est faite plus fort.
    
    Les mains du garde descendent le long de son corps, de son ventre, caressent ses petites fesses fermes, puis elles se glissent sous sa robe.
    
    Gab se laisse faire sans protester.
    
    L’homme caresse sa culotte un petit moment, puis :
    
    — Tu mouilles, petite salope, je t’excite ?
    
    Elle ne répond pas. Il explose de rire.
    
    — Allez les tourtereaux, suivez-moi !
    
    Il conduit le couple dans un vaste salon meublé de façon très kitsch et m’as-tu-vue. Positions lascives ou suggestives, des femmes nues semblent danser une ronde lubrique depuis les toiles qui ornent les murs. Un feu de bois irradie la pièce plongée dans la pénombre. Le maître des lieux est là, en peignoir, il trône assis dans un canapé près de la cheminée. Tel un monarque, il fait signe au couple de s’approcher.
    
    — Tu sais pourquoi tu es là ? Demande-t-il à la jeune femme d’une voix autoritaire.
    
    Elle parvient à bredouiller un "oui... Monsieur" en guise de réponse. Elle baisse les yeux pour ne pas avoir à soutenir son regard d’aigle.
    
    Il la dévisage des pieds à la tête, elle sent ses yeux inquisiteurs envisager déjà son corps.
    
    Henry se tourne vers Antoine et ordonne :
    
    — Fous-toi à poil, toi !
    
    Antoine obéit. Il retire son tee-shirt, défait son jean, traînant à baisser son slip.
    
    — Tout !!!
    
    Le slip finit à terre. Henry fait un signe à son garde du corps qui s’approche du jeune ...
    ... homme. Il lui présente un petit objet de verre en forme de poire et le lui introduit dans la bouche.
    
    — Je te présente Jacques, dit le maître des lieux en riant. Ta petite copine ne va pas être la seule à se faire baiser ici !
    
    Le garde fait pencher Antoine en avant, lui écarte les cuisses, puis il glisse le plug de verre entre ses fesses et le pousse dans son anus sans ménagement, brutalement, arrachant un grognement de douleur au jeune homme.
    
    Gab jette un regard désolé à son petit ami humilié. Henry explose de rire.
    
    Il se retourne vers la jeune femme et lui fait signe d’approcher. Elle se tient debout devant lui, intimidée. L’homme la déshabille des yeux. Il défait son peignoir, il est nu en dessous, son sexe dur est dressé. Il bande comme un âne en rut. S’adressant à Antoine :
    
    — Enlève-lui sa robe, elle n’en a plus besoin !
    
    Bouton après bouton, l’unique vêtement de Gab dévoile ses petits seins fermes dont les tétons durcis pointent clairement. Elle est excitée. Le déshabillage se poursuit du haut vers le bas, donnant successivement à admirer aux yeux d’Henry son ventre, puis sa petite culotte blanche candide qui ne masque plus rien de son excitation. Une tâche mouillée imprime les lèvres de son sexe sous le coton collant. Antoine fait glisser les bretelles de la robe qui tombe au sol dans un bruissement léger et soyeux, tel un pétale de rose. Gab jette un regard troublé à son ami.
    
    — Eh bien, demoiselle, lui dit Henry, les yeux fixés sur sa fente, j’ai ...
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