1. Vengeances


    Datte: 22/12/2021, Catégories: fh, extracon, vengeance, jalousie, Oral pénétratio, historique, historiqu, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... par se mignoter, usant des mains, des lèvres et de la langue sur toutes parties du corps, soit de concert, soit alternativement. Ils apprécient particulièrement les jeux buccaux qu’ils prennent à prolonger. Si d’aventure Monseigneur décharge lors de ces bagatelles, elle se charge de lui redonner vigueur pour l’accueillir en elle. Lors, parfois ils se contentent d’une position, parfois ils combinent. Quel que soit le programme, elle met une belle ardeur à écarter les cuisses pour se faire mettre bien profond, car il faut avouer qu’elle goûte la chose. En certaine occasion, il ne lui déplaît pas non plus de se faire défoncer un brin rudement. Ce qu’elle apprécie le moins c’est quand son amant doit se retirer un peu précipitamment pour éviter de la mettre en cloque. Une grossesse serait en effet une des pires choses qui puisse advenir, car susceptible de ranimer le scandale, et l’ire de Sa Majesté. Heureusement le prince sait avec science la combler d’autres manières, avec ses doigts, sa langue et parfois il use de divers instruments. Les plus utilisées sont les bougies, mais le manche d’un poignard, d’un maillet de croquet, d’outils divers, de brosse, de bouteille, et la liste n’est pas exhaustive, font l’affaire. Instruments dont elle n’hésite pas à user lorsqu’elle est seule.
    
    La solide constitution du comte lui permet de se remettre suffisamment de ses blessures pour se rendre à Dolnon où il est acclamé. Sa Majesté lui accorde une audience solennelle pour lui décerner ...
    ... l’Ordre du Bain avec le rang de Chevalier Commandeur. Pour ce faire, il a été auparavant promu au grade de colonel, condition pour recevoir cette distinction. Qui plus est, c’est d’un Régiment de la Garde qu’il aura à commander. Il évite son ancien protecteur, ne le saluant, très protocolairement, que lors de l’audience royale. Sitôt icelle achevée, il reprend incontinent le chemin du continent et de son régiment, bien que ne pouvant encore assumer pleinement le commandement au feu.
    
    Le lendemain de son retour, une explosion secoue le camp. Tous se précipitent. Autour d’un cratère, c’est le carnage, plus d’une douzaine de soldats sont morts autant agonisent, d’autres, plus éloignés, sont plus ou moins sérieusement blessés. Au retour d’un exercice, les soldats se sont assemblés autour d’un feu de camp pour manger. Après quelques minutes tout saute. Visiblement une caisse de munition était près du foyer. L’émotion est grande. Tous se demandent comment cela est possible. Une enquête est ouverte. Plusieurs hommes qui ne participaient pas à l’exercice ont préparé les feux. Pour celui du drame, un jeune soldat avec un pansement sur la tête s’en est particulièrement occupé. Les recherches pour le retrouver demeurent vaines. Une des victimes correspondrait à son signalement. Alors, les choses en restent là… faute de mieux.
    
    Une seule personne connaît la vérité. C’est Catherine de Révilly. C’est elle qui déguisée en soldat a piégé le feu pour qu’il explose parmi les soldats dont elle ...
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