1. Vengeances


    Datte: 22/12/2021, Catégories: fh, extracon, vengeance, jalousie, Oral pénétratio, historique, historiqu, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    Résumé épisodes précédents :
    
    À la suite d’un raid tanibrinque sur le port de Dorbauxe dans le royaume de Canfre, des prisonniers – hommes, femmes, enfants – sont emmenés en captivité. Une opération de débarquement est organisée pour venir en aide aux prisonniers, mais surtout pour libérer l’héritier du trône dont les geôliers ignorent la qualité. Jennifer, la fille de John Custer, a épousé le comte de Calbray, un protégé du frère du Roi, Édouard duc de Kory. Ce dernier est attiré par la jeune femme. Il expédie le mari rejoindre l’armée. La comtesse devient sa maîtresse (voir épisode 13). Catherine de Révilly s’est éclipsée de la cour où elle avait été invitée par le Dauphin avec ses trois compagnes retenues à l’institution de Madame Lincoln. Son but est de retrouver les soldats glaisans qui ont assassiné son père qui tentait de la défendre d’un viol lors de l’attaque de Dorbauxe.
    
    En fin de récit, vous trouverez pour les mots dont l’usage s’est perdu (ils sont suivis d’un astérisque) un équivalent en français moderne.
    
    Vous y trouverez aussi les liens vers tous les épisodes précédents.
    
    Jennifer poursuit sa liaison tant intellectuelle que physique avec le prince qui assavoure* grandement les deux. La première pour sa vivacité d’esprit, ses conversations stimulantes et ses conseils avisés, quant à la seconde, il faut reconnaître qu’après quelques scrupules et hésitations, la comtesse met une belle ardeur à agrémenter ses nuits et pas que ses nuits parfois d’ailleurs. ...
    ... Monsieur le duc de Kory n’a plus l’exclusivité des initiatives. Parfois elle l’entraîne en s’arrangeant pour que nul ne vienne les importuner et entreprend de défaire sa culotte pour s’occuper de ce qu’elle en extrait. Après l’avoir mis en condition, quand cela s’avère nécessaire, elle se laisse trousser. Tantôt le prince commence par jouer de la langue, tantôt directement il la couche ou la met à quatre pattes et sans plus de préambule l’embroche.
    
    Il est loin le temps où son père s’inquiétait tant de son manque d’enthousiasme au devoir conjugal au point qu’il avait fait appel à Marion et son mari pour la convaincre qu’elle pouvait trouver du plaisir aux jeux de l’amour.
    
    Elle apprécie grandement à se faire ramoner même vigoureusement, presque brutalement, de se faire caresser et malaxer les seins. Tant, qu’elle se montre souventes fois peu discrète en prenant son plaisir. Bientôt, nul n’ignore au palais et rapidement à la ville aussi, les parties de jambes en l’air de la comtesse et du duc.
    
    De bonnes âmes s’empressent d’informer le mari que sa chère et tendre épouse n’est pas tendre qu’avec lui et est devenue la maîtresse de son protecteur, le frère du Roi et héritier du trône. Il en est mortifié. Il comprend l’empressement d’icelui à l’envoyer au loin. Il ne peut demander réparation. Il a l’impression de voir le sourire compatissant sur les lèvres de tous ses compagnons d’armes. Cela le mine. Il ne veut survivre à un tel déshonneur, mais il doit se montrer digne de ...
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