1. Vengeances


    Datte: 22/12/2021, Catégories: fh, extracon, vengeance, jalousie, Oral pénétratio, historique, historiqu, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... n’entache sa grâce.
    — Merci Pierre.
    — Heureux d’avoir pu être utile à Madame, répond le serviteur en commençant à se retirer
    — Restez. J’ai encore besoin de vous.
    — Que puis-je pour Madame ?
    — Que vous continuiez à me donner votre sentiment. Et je pense que vous avez de bons arguments pour cela.
    
    Ce disant elle porte la main à l’entrejambe de son vis-à-vis et tâte. Elle hoche du chef d’un air appréciateur en enchaînant :
    
    — Hum… ! Je ne me suis pas trompée.
    
    Le domestique à nouveau surpris, l’esprit en déroute, regarde sa maîtresse avec des yeux hagards et débande. D’une voix affolée il s’écrie :
    
    — Madame !
    — Allons, Pierre, calmez-vous ! J’ai vraiment besoin de votre avis et peut-être de vos conseils. Je me demande pourquoi mon époux va baiser votre femme. Vous venez de me dire que j’ai plutôt un physique qui n’a rien de déplaisant. J’en conclus que ce doit être dans les jeux de l’amour qu’il y a soucis. Aussi je compte sur vous pour me dire ce qui pêche.
    
    Tout en parlant, la marquise s’agenouille et s’attache à défaire la culotte du valet. Elle en extrait un sexe que l’émotion a fait quelque peu se ratatiner. Elle s’en saisit et entreprend de le sucer.
    
    — Madame ! s’exclame Pierre avec un mouvement de recul.
    
    La susdite Madame le retient fermement par la queue en disant :
    
    — Vous ai-je fait mal ?
    — Non Madame, mais…
    — Vous me rassérénez. En ce cas, poursuivons.
    
    Et de se remettre à l’ouvrage avec conviction. Pierre reste figé, mais bientôt son ...
    ... trouble change de nature. De l’appréhension, il passe à l’agrément, car elle sait s’y prendre. Le redressement de ce qu’il y a peu, était paresseux en est le témoignage. Ce que voyant le menant par le braquemart, elle l’entraîne vers le lit.
    
    — Bon apparemment, si j’en juge par ce que je tiens, pour ce qui est de téter, je ne débrouille pas trop mal, n’est-ce pas ?
    — Et même très bien.
    — Voilà déjà un point sur lequel vous me rassérénez. Alors, poursuivons les recherches.
    
    Cette fois-ci le valet, étonnement et inquiétude envolés, n’a plus besoin d’être poussé. Elle écarte les genoux. Il contemple un moment le fort plaisant spectacle d’un con épanoui et juteux à souhait, avant d’aller déguster les trésors offerts. Le bougre sait y faire. La dame apprécie et le laisse œuvrer. L’agitation de ses reins en témoigne. Pierre jugeant la marquise bien partie, passe sur elle, s’ajuste et la pénètre, accueilli par un soupir de contentement. Les bras et les jambes d’Antoinette-Marie se referment sur lui et l’emprisonnent. Cela ne l’empêche pas de la pilonner puissamment. Le lit en tremble, mais cette vigueur ne contrarie nullement la pouliche, elle répond à son désir et icelui est grand. Hélas, si la cavale est ardente, le cavalier peut-être encore intimidé à monter sa patronne ne tient pas la distance autant qu’elle le souhaiterait.
    
    Quoiqu’un peu dépitée, cette dernière ne se laisse déconforter. Comme il se relève un peu quinaud, ne sachant quelle attitude prendre, elle l’attrape ...
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