Le collier de la "chienne" ! (2)
Datte: 22/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... coup, tant le cognac était fort, et puis cette sensation de dépossession et d’abandon euphorique. Elle se mit à se flageller comme une damnée. D’abord fortement sur ses seins, elle changeait de bras pour mieux atteindre le sein opposé, seins qui devinrent très vite rouges, puis au-dessus des épaules et enfin sur son ventre. Elle criait à chaque fois :
— Ouiii ! Non pitié... hann, aahhhhhh ! Pas si fort ! Oui sur ma chaattttteeee ! Noooooonnn, ouuiiiiii encore. Nonnn, je n’en peux plus !"
Le mari était tellement sidéré, mais en un sens, il savait qu’il avait vu juste, au regard de la situation incongrue de sa femme se fouettant durement, et criant à merci en même temps qu’elle jouissait, qu’il avait l’impression que la Cécile perverse et tortionnaire tenant le martinet, se régalait de fouetter la Cécile soumise et victime, qui recevait les coups.
Alors elle se plaça sur le dos, cuisses grandes ouvertes et genoux remontés vers ses seins, et se flagella terriblement la vulve et le pubis. A chaque fois que les lanières mordaient le clitoris, les lèvres, ou venaient carrément s’incruster dans son vagin, qui "pissait de cyprine", elle poussait des clameurs de jouissance rauque, en même temps que des plaintes de torturée.
Le mari sourit. Le cognac avait ouvert la boîte de Pandore dans l’esprit de sa femme. Il lui attrapa le martinet, la fit mettre à quatre pattes, et retirant vigoureusement le gode, le remplaça par sa verge, qui ...
... n’avait jamais été aussi puissante. Il encula sa femme qui gueula rapidement sa jouissance avec extase et force cris...
Se faisant... Il lui disait qu’il la ferait baiser par des jeunes, des femmes, qu’elle se gouinerait devant lui, qu’elle sucerait des bites et des chattes à n’en plus pouvoir, qu’il la ferait même prendre par des clochards ou par des animaux. Sa femme gémissait encore plus en entendant tout ce qu’il avait prévu pour elle !
Le lendemain matin, elle se réveilla, tout le corps complètement endolori ; elle avait l’impression de sortir d’un rêve porno très hard, dans lequel son mari lui avait promis des choses inimaginables pour elle. Mais elle se disait qu’il avait dit tout cela, pris dans la jouissance du moment, qu’il avait fantasmé en l’enculant !
Pourtant, quand elle vit sur une servante en bois de la chambre, une guêpière en dessous de seins, des bas résille blancs qui faisaient vraiment pute, une petite jupe de jean noir, un chemisier blanc, très échancré, et la veste de jean, sans autre forme de sous vêtements pour cacher sa pudeur, elle se dit qu’il ne rigolait pas ; il voulait vraiment l’exhiber en ville dans cette tenue très vulgaire !
Et cela la mit dans une atteinte de détresse psychologique considérable, en même temps qu’une autre partie d’elle même se régalait déjà de la situation... sentiment confirmé par la sensation de voir les pointes de ses seins qui se dressaient et sa vulve qui s’ouvrait...