Le collier de la "chienne" ! (2) - Histoires de Sexe

Le collier de la "chienne" ! (2)

... que tu veux, mais en y mettant les mots ; je veux que tu parles vulgairement !

— Humm, je veux que tu me baises avec ta grosse queue, je veux la sentir en moi !

— Où ?

— Où tu voudras, tu peux m’enculer, me prendre par la chatte ou me la mettre dans la bouche, j’ai encore envie de te sucer. J’aime ton sperme ! Lèche-moi la chatte, suce mes seins avec le jus de fruit dessus, ça va m’exciter. Et il la vit se positionner sur son fauteuil, les escarpins prenant appui sur la table basse, les genoux un peu pliés. Elle était offerte devant lui, son sexe commençait à s’ouvrir. Le mari voyait l’excitation de sa femme, à ses pointes de seins durcies, et à son clitoris, qui avait doublé en volume.

Il alla se positionner entre ses cuisses à genoux et lui brouta le minou, suçant les gouttes du jus de fruit sur sa motte, sa vulve, son ventre et ses seins. Sa femme gémissait et se mettait à ahaner, quand elle sentait sa langue sur ses lèvres et son clitoris.

— Baise-moi maintenant, prends-moi comme une pute !

Alors il la pénétra sauvagement, et positionnant ses jambes sur ses épaules, la défonça comme un charretier. Sa femme couinait, criait et jouissait sans entraves, peut-être pour la première fois depuis de longues années. Alors qu’il prenait son pied avec elle, lui enfonçant un doigt au passage dans son anus, il expliqua ce qu’il allait lui faire faire !

— A la maison, tu seras toujours nue, en guêpière ou porte-jarretelles ou petite nuisette pour mon plaisir ! ...

... Ton sexe doit toujours être visible ! À l’extérieur, les slips te seront interdits, de même que les soutiens-gorges. Tu porteras toujours des sous-vêtements sexy et des chaussures suggestives ! Tu t’exhiberas quand je te le dirai ! Et je te baiserai là où j’en aurai envie. A toi de choisir quelque chose de court pour demain, on se promènera en ville. Tu as compris petite pute ?

— Oui... hummm ? Ohhhhh ouiiiiii ! Je suis ta pute, tu vas m’exhiber à des mecs... je serai nue sous mes vêtements. Tu m’excites trop ! Je vais jouiiirrrr ! Et Cécile jouit effectivement très fort. Après le repas, il la rejoignit au lit. Elle l’attendait, alanguie sur le lit, toujours offerte.

— J’ai encore envie de baiser mon chéri, lui dit-elle, avec un ton rauque.

Elle le regarda farfouiller dans la commode pour en sortir un tube de lubrifiant, et un martinet et un gode noir... et surtout un collier large en cuir noir, avec un anneau sur le devant ! “Un collier de chienne !”

Cécile regarda les quatre objets, elle comprit tout de suite qu’elle allait être fouettée et enculée. Mais ce n’était pas pour lui déplaire. Elle adorait être soumise, même si elle s’en défendait par pudeur auprès de son mari. Et la sodomie... ma foi elle se sentait tellement excitée, et encore un peu euphorique, qu’elle savait que ça rentrerait comme dans du beurre, même si son mari avait le pénis très très gonflé, signe qu’il était encore hyper-excité par sa femme. Tout n’était donc pas perdu pour elle !

Mais les ...