Le collier de la "chienne" ! (2) - Histoires de Sexe

Le collier de la "chienne" ! (2)

... reprit son apostolat sexuel ; elle le fit bien jouir, et pour que la tigresse ne puisse se sauver, il lui plaqua la tête contre son sexe. Il jouit dans sa bouche comme il ne l’avait que très peu fait, la première et dernière fois, remontant lorsque Mademoiselle jouait “les Madame Claude”, pour reconquérir son époux !

— Ca t’a plu mon chéri, lui dit-elle, une goutte de sperme lui coulant sur le menton.

— Pas mal, pas mal. Entraîne-toi bien avec moi, parce que... Elle le regarda bizarrement. Elle n’avait pas compris sa réflexion, ou plutôt un doute horrible s’insinua dans son esprit, mais elle se dit qu’il serait certainement idiot de lui poser une question supplémentaire. Elle reprit ses vêtements au milieu du salon, et commença à se rhabiller, en dégrafant d’abord son porte-jarretelles.

" Que fais-tu ? lui demanda son mari, le regard féroce.

— Ben je... je me change ! lui répondit-elle, sentant avoir déjà commis une bévue.

— Certainement pas, tu restes comme ça !

— Mais... mais si quelqu’un sonnait ?

— Et bien tu irais le recevoir de cette façon !

— QUOI ?!! Mais... mais c’est pas possible !

— La dernière fois avant de m’enfler, tu as voulu jouer les “Madame Claude”, dans ton bordel, et bien maintenant, tu vas jouer le rôle jusqu’au bout ! Tu restes comme ça jusqu’à ce que je te le dise. Tu cuisineras comme ça, tous tes trous à mon entière disposition. Tu n’as pas compris qu’en signant ton contrat, tu t’offres en tant que mon jouet sexuel, que je ...

... peux faire de toi, tout ce que je désire ? Et si cela te pose problème...” laissa-t-il entendre, en indiquant du regard la lettre recommandée de divorce.

Cécile se tut et alla donc préparer le repas, dans la plus simple expression. Pour faire bonne figure, elle lui apporta l’apéro avec un plateau chargé de deux verres et une bouteille de whisky, et une de jus de fruit. Elle le servit en se la jouant maîtresse de bordel, en ondulant de la croupe, pour faire plaisir à son mari. En un sens, elle commençait à s’amuser de ce jeu bien anodin. Si elle devait en passer par là, pour récupérer son homme, alors elle s’en accommoderait bien. Mais alors qu’il buvait son verre.

" Eh bien, tu vas boire quoi ?

— Ben du jus de fruit ?

— NON ! cria-t-il, en jetant le fond de jus de fruit sur les seins de sa femme. Tu te sers un bon verre de whisky et tu le bois !

— Mais j’aime pas trop l’alcool !

— Maintenant si ! "

Cécile s’exécuta et but le verre par petites lampées, sentant le jus de fruit qui lui coulait sur les seins, son ventre et sa chatte. Elle ressentit avec délectation la chaleur du breuvage dans son ventre, et se sentit un peu perdre pied, se trouvant dans une euphorie pas désagréable du tout.

— Alors comment te sens-tu ? lui demanda-t-il.

— Humm... bien, très bien même. Je suis un peu saoule...

— Très bien, ça va te désinhiber, tu en as grandement besoin ! Tu aimes la bite ?

— Oui j’adore la bite ! dit-elle en rougissant un peu.

— Demande-moi ce ...